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Résumé : "A partir de données de type généalogique ou moléculaire, on cherche à répondre à certaines questions que peuvent se poser les éleveurs et les clubs canins. Les résultats présentés ici, établis sur un petit échantillon de races, permettent de distinguer les populations les unes des autres et d'affecter de manière correcte 97,5% des individus à leur race. Les résultats obtenus en termes de diversité génétique varient en fonction des races et peuvent être expliqués en partie par leur histoire connue. Au vu de nos résultats préliminaires, il paraît nécessaire d'utiliser en parallèles les différents types de données pour conseiller les clubs dans la gestion de leurs races."

Résumé :

Présentation d'un travail de recherche visant à investiguer, par une étude généalogique, un possible déterminisme génétique de l'oligodontie chez le chien. Les recherches ont porté sur l'oligodontie prémolaire chez une famille de West Highland white terrier, race présentant une fréquence importante d'anomalies numériques de la formule dentaire et une atteinte préférentielle des prémolaires.

Ce second volet présente les résultats de l'étude généalogique menée dans le but de rechercher un éventuel déterminisme génétique pour ces anomalies. Il détaille l'influence de la formule dentaire des parents sur la descendance ainsi mise en lumière, qu'il s'agisse du nombre d'agénésie dentaire ou de la localisation dentaire. Le rôle du père et de la mère dans la transmission des agénésies et la comparaison avec d'autres études menées sont également abordés dans cet article. 

Les conclusions de cette étude et les aspects à approfondir sont ensuite détaillés.   

Résumé :

"Une des grandes aventures de l'humanité est la domestication de l'animal. Pendant des milliers d'années, l'homme a appris à dominer et à transformer les espèces les plus diverses. 
Du lapin au cheval, du chien au bœuf, de l'animal de compagnie à la bête de somme, le chasseur devenu paysan crée l'animal et maîtrise son environnement. 
Avec une approche neuve, Achilles Gautier nous dévoile une histoire parallèle : celle de la nature apprivoisée et modifiée." [source éditeur]

 

Si tous les animaux domestiques sont convoqués pour soutenir la réflexion des différents chapitres, le chien, comme plus ancien animal domestique, a une place privilégiée dans le chapitre 4, intitulé : "À quoi se reconnaissent les premiers animaux domestiques, et le plus ancien animal domestique : le chien" (pp. 99-126)

Résumé : "Ce second tome de l'ouvrage de Jacqueline Aubry sur le berger belge constitue l'indispensable complément du premier. Puissamment documenté, écrit par une éleveuse qui, depuis 1924, a vécu jour après jour, l'évolution du berger belge et dont les succès de production ne sont jamais démentis sur plus de 15 générations successives, ce livre passionnera tous les amateurs de cette race magnifique. A l'heure où chacun de nous s'efforce de retrouver ses racines profondes pour se mieux comprendre, chaque propriétaire de berger belge y découvrira le cheminement à travers lequel, son propre chien, se rattache aux prestigieuses lignées grâce auxquelles l'élevage français est, aujourd'hui, le plus important en nombre comme en qualité. Indispensable aux éleveurs pour lesquels il dévoile les mécanismes de l'amélioration dans l'évolution par l'utilisation préférentielle des grands raceurs des deux sexes, il permet à tous un regain d'intérêt et une meilleure connaissance pour notre meilleur amis, le fidèle compagnon de chaque jour." [source éditeur]

Résumé : Ecrit par un vétérinaire passionné par le chien de berger belge, ce livre très illustré traite en premier lieu de l'histoire et du comportement de ce chien, de son standard officiel, de sa morphologie pour s'intéresser ensuite à l'élevage d'un point de vue génétique et pratique. La dernière partie est consacrée au choix du chiot, au dressage, aux concours et à la présentation du club de race du berger belge. Hors pagination, des informations sur les éleveurs, les lignées actuelles ainsi qu'une bibliographie.

Résumé : Afin d'apporter des outils d'aide à la gestion des races canines en France, cette étude cherche à analyser la structure génétique de l'espèce ainsi que les pratiques d'élevage sous-jacentes. Trois approches ont été employées afin de caractériser cette structure : des données d'enquêtes, des analyses de généalogies ainsi que l'utilisation des marqueurs moléculaires. Sur la base de 985 questionnaires remplis par des éleveurs de chiens, tant amateurs que professionnels, il a été possible de mettre en évidence des différences claires sur les pratiques en fonction des races élevées, ou du degré d'implication des éleveurs dans leur activité. Les analyses des données généalogiques de 61 races ont permis de confirmer cette hétérogénéité de pratiques et de situations en terme de variabilité génétique, avec certaines des populations montrant des évolutions de consanguinité préoccupantes. A partir de génotypages réalisés sur un échantillonnage de 1514 animaux appartenant aux 61 races, les résultats obtenus divergeaient parfois des données généalogiques. Cependant ces divergences pouvaient en partie être expliquées par les différences théoriques existantes entre les deux approches. A l'échelle individuelle cependant, les corrélations entre parenté généalogique et similarité moléculaire étaient significatives pour les échantillons étudiés, et similaire à celles qui pouvaient être obtenues à partir de simulations. L'analyse des relations génétiques entre les populations a permis de confirmer que les races constituaient bien des structures génétiques homogènes. En effet, jusqu'à 93,3% des individus étaient correctement affectés au sein de leur race. Ce dernier résultat permet d'envisager des applications pratiques en terme de gestion des races.

Résumé : Le berger blanc suisse est un cousin et un ancêtre du berger allemand ; il a été reconnu en France en 2003 par la Société Centrale Canine. L'étude génétique de la couleur blanche chez cette race montre qu'elle n'est pas responsable de pathologies d'origine génétique. Le berger suisse est une race en plein développement qui possède des capacités physiques et un bon caractère, ce qui permet son utilisation comme chien de sport ou de travail. La dysplasie coxofémorale a une faible incidence dans la race, et le travail de sélection et d'éradication doit être poursuivi.

Résumé : La création d'une base de données permet de sauvegarder et de synchroniser des données réparties sous forme d'archives papiers ou informatiques. La démarche de création nécessite auparavant de s'intéresser aux caractéristiques de la race ainsi qu'aux formats des différentes informations disponibles. Deux exploitations sont envisagées : la mise à disposition des données à tout amateur via la diffusion des informations sur internet et l'analyse statistique de certains caractères soit ponctuellement, soit en tenant compte de leur évolution dans le temps. L'intérêt de coupler les informations à un suivi généalogique informatique est de pouvoir étudier la façon dont certains caractères génétiques vont être transmis de génération en génération. Parmi ceux-ci, l'étude de la transmission de la dysplasie coxo-fémorale permet de mieux connaître la situation réelle de la population au regard de cette maladie, et même d'extrapoler certains résultats, à partir d'hypothèses à valider, à la population dont les radiographies ne sont pas connues.

Résumé :

Contrairement aux ouvrages du XVIIIe siècle, peu d'études actuelles traitent des races de chiens de cette époque. A partir de la littérature vétérinaire française du XVIIIe siècle provenant essentiellement de la bibliothèque de l'Ecole Nationale Vétérinaire d'Alfort, nous avons tenté de décrire et classer vingt-deux races de chiens en fonction de leur usage. Trois grands groupes ont été définis : d'abord, les chiens de berger, de garde et d'utilité; puis les chiens de chasse; et enfin les chiens de compagnie ou d'agrément. Pour chaque race, l'historique, les caractéristiques morphologiques et les utilisations ont été précisées. L'historique était basé sur l'hypothèse évolutionniste erronée de Buffon : le chien de berger était à l'origine de toutes les autres races qui auraient évolué par la seule influence du climat. Toutefois Buffon était un précurseur pour la connaissance de l'origine des chiens. Ces races de chiens devraient plutôt être considérées comme des types morphologiques car les descriptions étaient sommaires et les types n'étaient pas fixés. Cependant l'importance du chien dans la société de l'époque était déjà incontestable.