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Résumé : Quelques suggestions de sorties culturelles ou de lectures pour l'été 2014 : - exposition sur le Saint-Bernard Barry au Museum d'Histoire Naturelle de Berne (Suisse) ; - Animaux disparus d'Errol Fuller aux Éditions Delachaux et Niestlé ; - Doglands de Tim Willocks aux Éditions Syros ; - L'histoire du Chow-Chow en France de Julien Marchetti ; - La recherche du grand gibier blessé de Julia Numssen et Chris Balk aux Éditions du Gerfaut.

Résumé : Lumière sur un objet rare et précieux ayant rejoint récemment les collections de la Médiathèque de la SCC. Issue de la donation d'œuvres d'art de notre grande bienfaitrice Marcelle Benoît, cette niche-tabouret d'époque Napoléon III, en forme de petit théâtre, surprendra plus d'un cynophile. Objet d'exception réservé aux compagnons favoris des rois et des princes jusqu'au XVIIe siècle, la niche d'intérieur devient plus courante dans les appartements de la noblesse et de la bourgeoisie à partir du XVIIIe siècle. La niche-tabouret exposée à la Médiathèque s'inscrit dans le style Second Empire et constitue un rare témoignage de ces objets du quotidien destinés aux petits chiens de compagnie. Un point sur la collection de niches exposée au Château de Vendeuvre, dans le Calvados.

Résumé : Version miniature des sculptures traditionnelles, les bronzes de Vienne ont connu leur essor à la deuxième moitié du XIXe siècle, lorsque, par dizaine de milliers, ils ont franchi les frontières de l'Autriche. Cet article présente la technique et l'histoire des bronzes de Vienne. Issues d'un travail artisanal de très grande précision qui rendait chaque pièce unique et chère, ces petites figurines avaient pour thème de prédilection les animaux, et notamment les chiens. Représentant leurs sujets d'une manière naturaliste ou au contraire sous une forme humanisée, ces petits bronzes animaliers ont connu, et connaissent encore de nos jours, un grand succès auprès des collectionneurs du monde entier.

Résumé :

En mars 2022, le Club des amis du colley a fait don d'une magnifique sculpture de colley à la Centrale Canine. Ce précieux bonze est l'œuvre du sculpteur René Paris et arbore le cachet de la fonderie Valsuani. Datant de 1912, année de la création du club du colley en France, il s'agit d'un trophée original, passé "de mains de champion en mains de champion" durant le XXe siècle. 

Présentation de cette œuvre à découvrir dans le nouvel espace "musée" de la médiathèque et de son sculpteur René Paris. 

Résumé :

Retour sur la première édition de la Semaine nationale du chien, initiée par la Centrale Canine pour mettre en avant les chiens et toutes les activités que l'on peut faire pour renforcer notre relation avec eux. Avec plus de 200 évènements organisés en France entre le 30 septembre et le 8 octobre 2023, cette première Semaine nationale du chien fut un succès.

Lumière sur quelques uns de ces évènements : à Bouillargues (30) avec l'équipe du club canin Les Joyeux cabots pour de nombreuses démonstrations et un village de stands, à La Garenne-Colombes (92) où la municipalité a proposé une journée ludique et pédagogique avec l'aide de la Société Canine d'Île-de-France, au club Bande de clebs (70) pour une balade toute en couleur avec des lancers de poudre holi, ou au chenil du Vautrait de Banassat (03) pour une journée porte ouverte. 

La centrale canine n'était pas en reste avec des stands dans plusieurs manifestations franciliennes : l'espace Planète adoption & cie de l'Animal expo, la Fête de l'animal en ville de Paris, ou encore le Salon de l'animal du Blanc-Mesnil.

La médiathèque de la Centrale Canine a accueilli de nombreux visiteurs lors de ses journées portes ouvertes, des élèves de grande section de maternelle et de CP en collaboration avec des chiens visiteurs et une exposition d'art contemporain réalisée en collaboration avec des artiste de Poush.

Résumé :

En mars et avril 2025, le Bon Marché, célèbre grand magasin parisien, a mis nos compagnons canins à l'honneur en leur dédiant une exposition intitulée : "Je t'aime comme un chien". 

La Centrale Canine a été associée au projet et a créé tout spécialement deux collections d'articles en édition limitée à partir de ses archives documentaires : affiches, cartes postales, stickers, tote-bags, mugs et t-shirts à la tendance vintage. Le corner de la Centrale Canine a, par ailleurs, représenté une formidable occasion de promouvoir le chien de race et son futur musée du Chien auprès des nombreux visiteurs de l'exposition.

Résumé :

L'auteure, docteure-vétérinaire, utilise ses connaissances en histoire de l'art pour étudier l'évolution des races de chiens au cours de l'histoire. Par ses dessins, elle reproduit aussi des chiens représentés sur des tableaux gardés au musée du Louvre.

Une première partie comprend des généralités sur le chien, ses origines, ses emplois, l'évolution de sa représentation dans l'art. La deuxième partie est consacrée à l'évolution des races, qui sont regroupées en dix groupes, à partir de tableaux de maîtres du Louvre.

Résumé :

En 1982, les élèves de Première B1 du lycée Monge de Charleville-Mézières, guidés par leur professeur d'histoire, l'écrivain Yanny Hureaux, ont entrepris de retrouver les traces du quotidien et du travail des cloutiers ardennais, à Gespunsart dans les Ardennes. Cette commune de 2 400 habitants comptait aussi, au XIXème siècle, quelque 600 cloutiers, et 400 "chiens dans les roues".

Mémoire vive des habitants, photographies et cartes postales, actes d'état civil, contrats, extraits littéraires, pièces de musées : de nombreuses sources ont été mobilisées et mises en question pour ressusciter les boutiques des "clôteux", les roues à chien, les "moteurs à puces", le travail et la vie sociale des villageois avant l'avènement de l'ère industrielle.

Résumé : Destiné aux amoureux de la chasse et de la nature, cet ouvrage, illustré de nombreuses photographies, cherche à évoquer l'univers cynégétique "par l'image et par le texte". En ouverture de ce volume, une courte synthèse retrace les évolutions de cette pratique depuis ses origines. S'instaure ensuite un dialogue entre les témoignages des différents auteurs qui ont chacun prêté leur plume pour raconter un souvenir de chasse, une rencontre, leur attachement à un terroir, à une région ou encore aux chiens d'arrêt qui marquent la vie d'un chasseur, et l'iconographie qui permet de capter un instant, une lumière particulière, un paysage, une action de chasse...

Résumé : En 2004, le Swedish Kennel Club a créé l'Académie suédoise de cynologie, qui gère depuis lors les collections du musée. Ce musée a pour finalité la préservation de l'art cynologique suédois et nordique. Avant le 125e anniversaire du club, l'académie a décidé de publier un livre présentant une partie de ses collections. Cette sélection comprend des œuvres d'artistes célèbres, ainsi que divers pièces (tableaux, sculptures, porcelaines...) représentant des chiens ou faisant référence à la cynophilie.

Résumé :

"La République naturaliste examine la rencontre entre un petit objet d'histoire de la culture et des sciences, les collections d'histoire naturelle, et un événement colossal, la Révolution. Les années 1789-1804 sont en effet un moment exceptionnel dans la constitution des collections naturalistes françaises. Récoltés, échangés, achetés ou confisqués dans les cabinets aristocratiques et ecclésiastiques, une multitude de spécimens convergent vers le Muséum d'histoire naturelle, tandis qu'une partie des doubles de ces collections nationales est envoyée en province dans les cabinets des Écoles centrales. Le Muséum apparaît alors comme le centre autour duquel s'organisent le rassemblement, puis la dispersion des spécimens et Paris prétend, pour un temps, incarner la capitale universelle de l'histoire naturelle.

En suivant le parcours de ces objets, le livre analyse aussi ce qui se joue au moment où, dans la capitale comme en province, l'histoire naturelle s'institutionnalise, se professionnalise et se spécialise autour de collections refondées ou entièrement nouvelles. Au sein de ces collections, les relations entre objets scientifiques, artistiques et ethnographiques ne sont jamais exactement les mêmes tout comme les pratiques savantes qui fixent la valeur et l'usage des spécimens. C'est ainsi que dans les relations complexes, et parfois tendues, qui se tissent alors entre le Paris naturaliste, l'Europe savante et la province des professeurs, une hiérarchie des positions intellectuelles et des institutions scientifiques s'élabore progressivement.

Ce livre dresse une carte inédite du savoir à l'époque révolutionnaire." [source éditeur]

Résumé :

"Fidèle ami de l'homme depuis le paléolithique, le chien est l'un des premiers animaux domestiqué pour la chasse. Depuis, il n'a cessé d'être aux côtés de son maître, l'accompagnant au travail, à la guerre ou défendant son foyer. Longtemps banni des casernes de la gendarmerie, contrairement au chat, le chien va devenir un auxiliaire précieux de l'Arme à partir des années 1940. S'inspirant des techniques acquises depuis plusieurs siècles dans l'armée (attaque, défense, guet) et la fin du XIXe siècle dans la Police (pistage), notre Gendarmerie va développer son propre savoir faire reconnu au niveau international: chiens de recherches en avalanches (1970), chiens de recherche de stupéfiants (1973), chiens d'assaut pour le GIGN (1976), chiens de recherche d'explosifs (1988) ...

Dans le cadre de la formation de ses équipes cynophiles, la Gendarmerie nationale s'est dotée depuis le 19 décembre 1945 d'un centre de formation hautement spécialisé à Gramat (Lot) : le Centre national d'instruction cynophile de la gendarmerie (CNICG). Actuellement, la Gendarmerie nationale compte un groupe national d'investigation cynophile (GNIC), 33 groupes d'investigation cynophiles (GIC). 471 équipes cynophiles (EC) et 554 chiens. Il y a au moins un conseiller technique par région et un officier cynophile par région ou entité assimilée.

Cet ouvrage réalisé après plusieurs années de recherches par un maître de chien passionné d'histoire et un historien universitaire, permet de retracer cette palpitante aventure à partir d'archives inédites, de témoignages et d'iconographies méconnues." [source éditeur]

Résumé :

"Peut-on imaginer aujourd'hui le château de Versailles et ses jardins grouillant de vie animale ? Et pourtant les animaux de compagnie se comptaient par dizaines dans les appartements des princes, et jusqu'aux antichambres des rois, encombrées de niches : braques, épagneuls, carlins, singes vervets, chats angoras, aras et perruches ; la ménagerie abritait les animaux les plus rares, du coati au couagga, du casoar à la grue couronnée, que l'on surnommait l'« oiseau royal » ; le gibier était abondant dans le petit et le grand parc ; 2 000 chevaux logeaient à la petite et à la grande écurie, 300 chiens de chasse dans le grand chenil… L'ouvrage a pour ambition de faire revivre ce bestiaire, et de faire redécouvrir les hauts lieux de la vie animale versaillaise. Ainsi le merveilleux bosquet du Labyrinthe est évoqué par les fragments subsistants de ses fontaines sur le thème des fables d'Esope. Le décor du salon octogone de la ménagerie est lui aussi restitué. Les animaux eux-mêmes reviennent en foule à Versailles, car ils n'ont pas disparu sans laisser de traces : les meilleurs peintres du roi, de Bernaerts et Le Brun à Desportes et Oudry, ont fait les portraits des animaux exotiques, sauvages et familiers. Ils étaient tissés à la manufacture des Gobelins, mais aussi disséqués, gravés puis naturalisés à l'académie des Sciences et au Jardin du roi. On découvre ainsi le squelette du premier éléphant de Versailles, une éléphante offerte à Louis XIV par le roi du Portugal, qui vécut treize années à Versailles. Les chiens préférés des rois avaient aussi droit à leurs portraits avec leurs noms inscrits en lettres d'or : on fait connaissance avec Misse, Turlu, Tane, Blonde, Diane, Merluzine, Hermine et Cocoq… et même avec le Général, chat de Louis XV, portraituré par Oudry. Enfin on apprend la farouche résistance versaillaise à la théorie cartésienne des animaux-machines : dans le palais des rois de France, on n'a jamais douté que les animaux avaient une âme !" [source éditeur]

Résumé :

"À l'occasion du bicentenaire de la naissance de Rosa Bonheur (1822- 1899), le catalogue raisonné du fonds de l'artiste conservé au château de Fontainebleau est publié pour la première fois. Cette collection fut constituée par trois donations d'Anna Klumpke, amie et légataire universelle de Rosa Bonheur, qui imaginait de créer une sorte de mémorial visant la reconnaissance de la carrière de l'artiste, jalonnée de nombreux prix, de commandes officielles et marquée par l'admiration de l'impératrice Eugénie. Cet ensemble unique de plus de cent œuvres et objets personnels témoigne de la trajectoire singulière de Rosa Bonheur, de l'intimité de son travail et de sa manière magistrale d'embrasser le vivant à travers le règne animal." [source éditeur]