En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

Documenti CHATEAU 3 résultats

filtro
Sélectionner : Tutti / Nessuno
P Q
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V

Commento :

"François Desportes (1661-1743), élève de Nicasius Bernaert, se rendit célèbre avec un Autoportrait en chasseur, qui lui permit d'être reçu à l'Académie à son retour de la Cour du roi de Pologne. Il devint peintre officiel du roi Louis XIV. Il exécuta alors les décors de la ménagerie de Versailles ainsi que diverses résidences royales (châteaux de la Muette et de Marly). Ses études sur la faune et la flore sont d'un réalisme admirable. Il est le grand peintre de la chasse, de la vénerie, des paysages et des animaux en action. Il dessina la tenture des Nouvelles Indes d'après les cartons d'Eckout qui fut tissée aux Gobelins. Cette monographie, écrite dans un style littéraire, et abondamment illustrée, est assortie du catalogue raisonné de l'œuvre de François Desportes, fruit des recherches de Georges de Lastic, reprises à sa mort par Pierre Jacky." [source éditeur]

Commento : "François Desportes (1661-1743), élève de Nicasius Bernaert, se rendit célèbre avec un Autoportrait en chasseur, qui lui permit d'être reçu à l'Académie à son retour de la Cour du roi de Pologne. Il devint peintre officiel du roi Louis XIV. Il exécuta alors les décors de la ménagerie de Versailles ainsi que diverses résidences royales (châteaux de la Muette et de Marly). Ses études sur la faune et la flore sont d'un réalisme admirable. I...

ROI ; PEINTURE A L'HUILE ; CHATEAU ; 17EME SIECLE ; 18EME SIECLE ; PERSONNALITE ; BIOGRAPHIE ; POLOGNE ; FRANCE ; OISEAU ; LOUP ; LIEVRE ; CERF ; SANGLIER ; RENARD ; MEUTE : CHASSE ; HISTOIRE DE L'ART ; PEINTURE ANIMALIERE ; CHIEN DE CHASSE ; ARTISTE ; ANIMAL DOMESTIQUE

... Piu [+]

Selezione
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V

Commento :

"Par la volonté de ses propriétaires successifs, du XVIe au XVIIIe siècle, le domaine de Chantilly se pare de mammifères et d'oiseaux exotiques, curieux ou rares, et ses pièces d'eau, ses canaux et ses douves s'irisent de milliers de carpes colorées. À travers l'étude de nombreuses archives, de plans, de témoignages littéraires et d'une précieuse iconographie, cet ouvrage parcourt trois cents ans de la formidable histoire animalière du château de Chantilly, depuis le connétable Anne de Montmorency et son épouse Madeleine de Savoie au XVIe siècle, jusqu'au duc de Bourbon, dernier représentant des princes de Bourbon-Condé, au XIXe siècle. Tous les événements qui ont marqué le lieu durant cette période, depuis l'introduction des premiers animaux jusqu'à leur exécution tragique décidée en 1792, constituent l'objet de ce livre. Évoquer les animaux du domaine de Chantilly, c'est aussi s'intéresser à leur habitat. Ainsi, la construction, le rayonnement, puis le démantèlement de l'une des ménageries les plus extraordinaires du royaume de France sont ici racontés en détail. Voulue conjointement par le Grand Condé et son fils Henri-Jules dès la fin du XVIIe siècle, la ménagerie de Chantilly est un remarquable point de convergence de la zoologie, de l'architecture animalière, de l'art, de la curiosité scientifique et de la vie mondaine des XVIIe et XVIIIe siècles." [source éditeur]

Commento : "Par la volonté de ses propriétaires successifs, du XVIe au XVIIIe siècle, le domaine de Chantilly se pare de mammifères et d'oiseaux exotiques, curieux ou rares, et ses pièces d'eau, ses canaux et ses douves s'irisent de milliers de carpes colorées. À travers l'étude de nombreuses archives, de plans, de témoignages littéraires et d'une précieuse iconographie, cet ouvrage parcourt trois cents ans de la formidable histoire animalière du châ...

HISTOIRE ; CHATEAU ; MENAGERIE ; OISEAU ; MAMMIFERE ; EPOQUE MODERNE ; 19EME SIECLE ; ARISTOCRATIE ; ART PLASTIQUE

... Piu [+]

Selezione
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V

Commento :

"Peut-on imaginer aujourd'hui le château de Versailles et ses jardins grouillant de vie animale ? Et pourtant les animaux de compagnie se comptaient par dizaines dans les appartements des princes, et jusqu'aux antichambres des rois, encombrées de niches : braques, épagneuls, carlins, singes vervets, chats angoras, aras et perruches ; la ménagerie abritait les animaux les plus rares, du coati au couagga, du casoar à la grue couronnée, que l'on surnommait l'« oiseau royal » ; le gibier était abondant dans le petit et le grand parc ; 2 000 chevaux logeaient à la petite et à la grande écurie, 300 chiens de chasse dans le grand chenil… L'ouvrage a pour ambition de faire revivre ce bestiaire, et de faire redécouvrir les hauts lieux de la vie animale versaillaise. Ainsi le merveilleux bosquet du Labyrinthe est évoqué par les fragments subsistants de ses fontaines sur le thème des fables d'Esope. Le décor du salon octogone de la ménagerie est lui aussi restitué. Les animaux eux-mêmes reviennent en foule à Versailles, car ils n'ont pas disparu sans laisser de traces : les meilleurs peintres du roi, de Bernaerts et Le Brun à Desportes et Oudry, ont fait les portraits des animaux exotiques, sauvages et familiers. Ils étaient tissés à la manufacture des Gobelins, mais aussi disséqués, gravés puis naturalisés à l'académie des Sciences et au Jardin du roi. On découvre ainsi le squelette du premier éléphant de Versailles, une éléphante offerte à Louis XIV par le roi du Portugal, qui vécut treize années à Versailles. Les chiens préférés des rois avaient aussi droit à leurs portraits avec leurs noms inscrits en lettres d'or : on fait connaissance avec Misse, Turlu, Tane, Blonde, Diane, Merluzine, Hermine et Cocoq… et même avec le Général, chat de Louis XV, portraituré par Oudry. Enfin on apprend la farouche résistance versaillaise à la théorie cartésienne des animaux-machines : dans le palais des rois de France, on n'a jamais douté que les animaux avaient une âme !" [source éditeur]

Commento : "Peut-on imaginer aujourd'hui le château de Versailles et ses jardins grouillant de vie animale ? Et pourtant les animaux de compagnie se comptaient par dizaines dans les appartements des princes, et jusqu'aux antichambres des rois, encombrées de niches : braques, épagneuls, carlins, singes vervets, chats angoras, aras et perruches ; la ménagerie abritait les animaux les plus rares, du coati au couagga, du casoar à la grue couronnée, que l'on sur...

CHATEAU ; ROI ; OBJET D'ART ; PEINTURE ANIMALIERE ; CHASSE ; ANIMAL ; PERSONNALITE ; MUSEE ; 17EME SIECLE ; 18EME SIECLE ; ANIMAL DOMESTIQUE ; CHIEN DE COMPAGNIE : FONCTION

... Piu [+]

Selezione

filtro

Descrittori
Data di pubblicazione
Tipo