Documentos EXPERIENCE 19 résultats

Comentario : "La domestication n'est qu'une forme de co-existence entre deux espèces. La particularité de ce phénomène est la présence de l'espèce humaine comme l'une des deux espèces impliquées. Tout processus de domestication requiert qu'une proximité plus ou moins permanente puisse s'instaurer entre une espèce et Homo sapiens. La domestication fait référence à une sélection artificielle exercée par Homo sapiens sur l'autre espèce. Le chien, d'après diverses évidences, moléculaires ou archéologiques, est apparemment l'espèce qui est devenue domestique le plus tôt dans l'histoire de l'humanité. Il se pose alors la question de savoir si, à la date proposée pour la domestication du chien, les capacités cognitives de Homo sapiens avaient atteint un développement suffisant pour envisager une sélection artificielle de populations de l'espèce-mère du chien. Deux théories seront exposées : l'une classique de sélection artificielle, liée à l'apprivoisement d'individus (Darwin, Clutton-Brock), l'autre plus récente envisageant que des populations de loups auraient colonisé la niche écologique humaine, auraient alors acquis un avantage sélectif, seraient devenu une nouvelle espèce, Canis familiaris, à laquelle l'humain beaucoup plus tard aurait fait subir une sélection artificielle (Coppinger et Coppinger). Cette théorie de sélection naturelle reste valable quel que soit le degré de l'évolution humaine au moment de la spéciation du chien. Elle a aussi pour conséquence que les traits phénotypiques sélectionnés naturellement dans des populations de loups doivent différencier profondément à l'heure actuelle les loups, Canis lupus, et les chiens Canis familiaris. Trois travaux scientifiques explorant des différences entre les capacités cognitives des chiens et celles des loups, sont analysés. Ils démontrent tous qu'actuellement les performances cognitives des chiens et des loups sont fondamentalement différentes. Au cours du processus de domestication, les chiens auraient acquis une compétence nouvelle, particulière, celle de prendre en compte le comportement de Homo sapiens. Cette compétence qu'elle soit correctement interprétée, ou non, ne peut que contribuer à renforcer la présence des chiens auprès des hommes."

Comentario : "Les auteurs s'efforcent de relater l'expérience des soignants ayant vécu un projet d'introduction d'un animal dans un service accueillant des personnes réputées "démentes" à des stades très évolués de la maladie. Le travail des soignants y est très éprouvant, le contact quotidien avec l'état de vieillesse, la maladie, la mort les contraignant à élaborer des défenses pour « tenir» et continuer à œuvrer au service des patients. C'est dire que la présence d'un chien méritait de voir ses conséquences analysées aussi bien au niveau des malades qu'à celui de l'équipe soignante. Elle s'avéra apaisante pour les deux et stimulante pour cette dernière, qui découvrait une autre médiation possible avec des gens très en souffrance. L'expérience telle l'ont que vécue les soignants est longuement rapportée. Des difficultés pour exprimer ce qui était vraiment ressenti, de nombreuses interrogations et, parfois, des doutes font partie de cette expérience. Le chien, peu à peu, fut considéré comme un membre à part entière de l'équipe soignante. Lorsque l'expérience, prévue pour quatre ans, arriva à son terme, un grand vide fut ressenti, de la part de ceux des patients qui s'étaient fortement attachés au chien, mais aussi de la part des soignants, qui venaient de perdre à la fois un compagnon et un "collègue"."

Comentario : "Sur la question brulante du bien-être de l'animal d'élevage, qui soulève de fortes oppositions de points de vue dans nos sociétés et agit sournoisement sur le comportement des individus, en particulier sur la consommation de viande, l'objectif de l'auteur est de tenter une réflexion conceptuelle soutenue par une étude de cas. Dans un premier temps est expliqué le concept d'"éthique de situation", qu'inspire la pensée de Sartre, chez qui le concept de situation a donné lieu à plusieurs textes portant cet intitulé. C'est toutefois le roman philosophique La Nausée (1938) qui est le plus explicite. Le concept de situation, qui est étroitement associé à ceux de liberté et de pratique (ou d'agir), définit un rapport au monde qui privilégie l'existence, le concret (ou le réel), le moment ou le temps présent. Dans la recherche en sciences sociales, ces mots – en particulier celui de concret – donnent un sens à celui de territoire mais aussi à celui d'individu libre et de liberté collective. La situation implique aussi un rapport au politique dans le temps présent. Dès lors une "éthique de situation" est une éthique consciente de la complexité des interactions, de contradictions constitutives du temps même de la situation mais qui, en conscience et par engagement, cherche à aller au-delà de ces contradictions pour faire émerger non pas une morale invariante mais un acte, une pratique éthique qui subsume ces contradictions. Pour illustrer dans le domaine de l'élevage la portée pratique d'une éthique de situation, l'expérience menée en Martinique pour résoudre le problème des carnivores domestiques qui mettent en danger la vie d'autres animaux (bovins, ovins surtout) est rapportée."

Comentario : L'état actuel de la connaissance montre que la grande sociabilité des chiens envers l'homme est inscrite dans leur patrimoine génétique. Cette synthèse présente différentes études ayant établi un lien entre sociabilité et génétique : tests s'appuyant sur une distribution de nourriture pour apprécier le degré de sociabilité des animaux, expérience russe portant sur la sélection de renards roux sur le critère de la sociabilité couplée à des recherches génétiques pour identifier des gènes liés à la domestication, test mené en Suède sur le comportement et le génome de beagles, mise en évidence de gènes de l'hypersociabilité par des chercheurs américains.

Comentario :

Tome douzième de l'Histoire naturelle de Buffon, consacré aux quadrupèdes, principalement domestiques. Il ouvre la partie zoologique de l'étude. 125 pages sont consacrées au chien. Buffon dresse le portrait de l'espèce canine : ses caractéristiques, sa domestication, son évolution et sa reproduction. Il s'intéresse tout particulièrement à la question des origines, aux variétés qu'on observe dans les races de chiens et aux questions de croisements et de métissages.

Comentario : "Ce livre est l'oeuvre maîtresse de l'un des principaux pionniers de l'éthologie, cette science née de la volonté d'appliquer au comportement animal et humain les interrogations et les méthodes propres à la recherche en biologie. Avec, en ligne de mire, la question de l'information à la base de toute adaptation, innée ou acquise. Un tel objectif - réussir à expliquer tous les processus du vivant - exige une méthodologie rigoureuse qui statue sur les compétences requises pour la recherche et sur les différentes modalités expérimentales : la perception comme moyen de connaissance, l'observation des animaux en liberté, en captivité ou simplement apprivoisés, l'expérience de privation, l'analyse fragmentaire, la recherche phylogénétique, l'homologie... C'est sur la base de ces connaissances que l'auteur dresse un tableau des mécanismes physiologiques et des modifications adaptatives du comportement animal. On a souvent reproché à Lorenz d'appliquer un peu trop rapidement à l'homme les résultats de ses recherches. Mais n'y a-t-il pas une foule de comportements cent fois plus anciens que les nôtres, qui existent en nous et jouent un rôle considérable dans nos actes et dans l'exercice de nos facultés cognitives ? L'édifice lumineux mais fragile de notre rationalité, nous avertit-il, repose sur un terrain d'instincts primordiaux que nous partageons avec des créatures bien plus primitives dans l'échelle de l'évolution et avec qui nous devons compter."

Comentario : "Rien ne prédestinait Yves Lahiani à devenir ce vétérinaire aussi épanoui auprès des animaux de compagnie que des fauves, et encore moins cet heureux chroniqueur animalier de l'émission " C'est au programme " sur France 2. Enfant silence surnommé " le muet " par sa mère, cet hypersensible s'est créé un monde à part, incapable de communiquer avec celui des hommes qui l'effraie tant. Ce n'est pas faute de comprendre et de pouvoir parler – au contraire, il est plus que doué pour apprendre et même inventer –, son problème, c'est de pouvoir interagir avec les autres. Heureusement, depuis toujours, Yves a un lien particulier avec les animaux, qui l'apaisent, le rassurent ; lui les comprend instinctivement, leur parle, et apprend très tôt à les soigner. À force d'obstination et grâce à ses dons hors normes qu'il a su cultiver (une mémoire photographique, une très grande habileté manuelle, une conscience aiguë des êtres et de leur environnement...), il devient vétérinaire et acupuncteur, disciple de Michel Klein qui, bien que désarçonné par la drôle timidité de son élève, en décèle l'immense potentiel dès qu'il le voit opérer... Depuis, les succès s'enchaînent. Yves a su, grâce à son amour pour les animaux, faire de ses capacités différentes un atout, un lien supplémentaire avec ce qui l'entoure, apprivoiser – enfin – l'univers redouté de ses semblables et s'y reconnecter." [source éditeur]

Comentario : "Que se passe-t-il dans la tête d'un chien ? Pour y répondre, le neuroscientifique Gregory Berns a observé, grâce à l'imagerie cérébrale, le cerveau des chiens exposé à certaines stimulations telles que la promesse d'une friandise, l'odeur de leur maître ou celle d'un chat. Cette excursion inédite dans la matière grise canine qui aura duré quatre ans, complétée par des travaux pionniers sur d'autres mammifères tels que les otaries, qui peuvent apprendre à danser, ou les dauphins, qui "voient" le monde par écholocalisation, nous montre que les animaux réagissent comme les humains aux mêmes émotions." [source éditeur]

Comentario : "Une truffe qui vient se blottir contre vous, la chaleur de votre compagnon à quatre pattes quand il dort à vos pieds et même ses gémissements quand il vous implore de monter sur le lit. N'importe quel ami des chiens connaît bien ces situations... Vous avez l'impression que votre chien vous aime. Mais pendant des années, les scientifiques ont refusé d'aboutir à une telle conclusion, brandissant le risque d'anthropomorphiser nos animaux de compagnie. C'est là qu'intervient Clive Wynne, un spécialiste du comportement canin et véritable pionnier en son genre, dont les recherches contribuent à faire naître une nouvelle ère, dans laquelle l'amour - et non l'intelligence ou la docilité - est au cœur de la relation entre l'homme et le chien. Grâce à des études à la pointe de la modernité menées dans son laboratoire et à d'autres travaux recueillis dans le monde entier, Wynne démontre que l'affection est l'essence même du chien, depuis son museau jusqu'au bout de sa queue, en passant par son cerveau, ses hormones et même son ADN. Cette révolution scientifique nous en révèle plus encore sur les origines uniques des chiens, leur comportement et leurs besoins que nous aurions imaginé possible, atteignant une profondeur jusque-là inégalée." [source éditeur]

Comentario :

"De tous les animaux, le chien est certainement le meilleur ami du droit. Le droit s'intéresse en effet au chien pour de multiples raisons comme, par exemple, sa race, son éventuelle dangerosité, ses allées et venues mais aussi les nombreux rôles qu'il est amené à tenir plus que d'autres, en tant que gardien, chasseur, sauveteur ou encore guide et même artiste. Il se préoccupe également de sa protection, de son bien-être, des soins qu'il peut recevoir ou des mauvais traitements dont il est hélas parfois la victime et c'est alors son maître qui se trouve le plus souvent concerné. Pour en faciliter l'approche, le choix a été fait de les rassembler en différentes rubriques où chacun pourra trouver l'essentiel à connaître, chacune étant complétée par toutes les références précises aux textes de loi et aux décisions de justice. Ainsi conçu, l'ouvrage s'adresse aussi bien à tous, propriétaires ou non d'un animal, qu'aux professionnels, du droit ou des animaux, et du chien en particulier." [source éditeur]

Comentario : Après un bref rappel de physiologie respiratoire, l'auteur propose un protocole expérimental qui permet de juger l'aptitude physique des chiens bergers allemands. Cette expérimentation met en évidence la détermination du VO2, paramètres indispensable à l'appréciation des facultés physiques chez le chien comme chez l'homme. A l'issue des épreuves d'efforts réalisées, l'auteur propose un test de terrain simple et facile, basé sur les abaques de calcul précédement obtenues. Grâce à ce test, l'auteur tente de répondre à la nécessité d'homogénéïser sur le plan physique "les équipes cynophiles des armées".

Comentario : La perception des aliments repose sur le bon fonctionnement du goût et de l'odorat. Ces deux sens répondent aux lois générales de la physiologie sensorielle. Il n'existe que quatre type de stimulis gustatifs : les saveurs salée, sucrée, acide et amère ; mais pour chaque saveur, il existe une multitude de perceptions différentes qui répondent à la stimulation d'un ensemble spécifique de récepteurs. L'olfaction met en jeu des mécanisme de stimulation moléculaire d'un ensemble de récepteurs qui est spécifique de l'odeur. La combinaison gustation-olfaction permet une haute discrimination des flaveurs qui semblent cependant perçue différemment selon l'animal. Notre propre expérimentation sur l'aromatisation des petfood, déjà compliquée par des problèmes d'interprétation, s'est vue confrontée à des contraintes sur le terrain qui ont appauvri les résultats obtenus. Nous avons néanmoins réussi à identifier un arôme intéressant, à établir un protocole expérimental, et à réunir des informations sur les qualités de testeurs des chiens et leur comportement.

Comentario : Demodex canis peut provoquer chez le chien une acariose cutanée, difficilement contagieuse, de pathogénie complexe et de diagnostic aisé. Le Shar Pei a la réputation d'être fréquemment atteint par la démodécie. Cette étude rétrospective de 25 shar pei permet de dégager des particularités épidemiologiques, cliniques et diagnostiques, et de comparer trois protocoles thérapeutiques de la démodécie, utilisant l'amitraze, l'ivermectine et la milbemycine.

Comentario : La dysplasie coxo-fémorale est une affection qui concerne aujourd'hui encore de nombreuses races de chiens dont le terre-neuve. Apres avoir décrit l'anatomie de la hanche du chien et énuméré les différents paramètres coxométriques utilisés chez celui-ci, nous avons défini un nouveau paramètre. Il s'agit de mesurer l'écartement des parois du bassin. Les mesures ont éffectuées sur des radiographies de bassins de T.N. sains et dysplasiques à différents stades. L'analyse statistique sur petits et grands échantillons montre que les bassins de T.N. sains sont significativement plus larges que ceux des T.N. dysplasiques. Ces résultats, associés à la simplicité de la mesure, pourraient éventuellement rendre le paramètre d'écartement des parois du bassin utilisable pour la sélection des reproducteurs.

Comentario : L'endocardiose de la valve mitrale chez le cavalier king Charles est plus fréquente et plus précoce que dans les autres races de chiens. Après avoir effectué un rappel anatomique et échoanatomique de l'appareil mitral, une étude expérimentale échocardiographique de cette maladie sur 187 cavaliers king Charles d'une population francaise a été abordée. Les différents grades de la maladie ont été répertoriés en fonction de l'âge et du sexe du chien. Ce travail montre qu'il existe une influence de l'âge et du sexe de l'animal sur cette maladie.

Comentario : L'arthrose, maladie articulaire dégénérative, se caractérise par un cartilage, un os et une membrane synoviale anormaux et dégradés. En médecine humaine et animale, l'évaluation de cette maladie se fait en routine par un examen orthopédique et par des examens complémentaires tels que la radiographie, l'échographie, le scanner, l'imagerie par résonance magnétique ou la thermographie. Une nouvelle approche consiste à doser des marqueurs moléculaires de cette dégénérescence articulaire afin de diagnostiquer voire de pronostiquer l'arthrose. L'objectif de notre travail était de réaliser une liste la plus exhaustive possible des différents types de marqueurs étudiés chez l'homme et chez l'animal, que ce soit dans le liquide synovial, dans le sang, ou dans les urines, chacun ayant des avantages et des inconvénients. Puis dans une partie expérimentale, nous avons dosé l'un d'entre eux, le CTX-II, dans les urines de jeunes chiens adultes sains. Ces valeurs pourront servir ensuite à une étude expérimentale approfondie, dans le but de valider ce marqueur.

Comentario : Malgré l'incitation de la législation, des laboratoires de recherche animale sont encore réticents à proposer leurs chiens à l'adoption par peur notamment que les chiens aient du mal à s'adapter à leur nouvel environnement. Nous avons donc souhaité construire, en nous basant sur un test déjà validé sur des chiens de refuge, un test de tempérament rapide et facilement réalisable par tous qui permettrait de sélectionner les chiens de laboratoire aptes à l'adoption de façon à les préparer au plus tôt à leur nouvelle vie. Six catégories de comportement sont explorées au travers de 17 sous-tests qui ont été adaptés au cadre du laboratoire. Pour valider notre test, nous avons procédé en plusieurs étapes pour étudier : (1) la faisabilité (2) les reproductibilités intra-testeur, inter-testeur et test-retest en testant 14 chiens à environ 3 mois d'intervalle et en utilisant les séquences vidéo des tests (3) la prédictibilité de ce test en confiant 12 des 14 chiens testés à des étudiants pendant 4 semaines et en évaluant leur capacité d'adaptation par des questionnaires soumis aux adoptants ainsi qu'en mettant en corrélation les résultats des questionnaires avec ceux de notre test de tempérament. Nos résultats valident notre approche car notre test se révèle faisable par des techniciens animaliers, rapide à réaliser et fiable. Concernant la prédictibilité du test, nous avons pu constater que notre test semble pertinent pour détecter les chiens aptes ou non à être adoptés même si nous n'avons pas pu montrer de corrélation statistique entre les scores du test de tempérament et ceux des questionnaires probablement du fait de trop faible effectif. Il est important de souligner qu'au cours de cette étude de mise à l'adoption, 11 des 12 chiens se sont bien adaptés à leur nouvel environnement.

Comentario : "Les éleveurs canins ont souvent des préférences concernant le sexe des chiots à naître. Partant d'une croyance populaire selon laquelle l'alimentation de la femme peut conditionner le sexe de son futur enfant, nous avons cherché à la vérifier chez la chienne. Le pH vaginal est l'un des facteurs sur lequel l'alimentation pourrait agir, modifiant ainsi l'environnement vaginal induisant une fécondation préférentielle de l'ovocyte par un type de spermatozoïde (X ou Y). Nous avons nourri sept chiennes beagle avec un complément alimentaire contenant notamment du calcium, du magnésium et de la vitamine D3, et mesuré leur pH vaginal au cours de leur cycle œstral. Ces pH sont ensuite comparés à ceux obtenus lors de cycles œstraux pendant lesquels les chiennes ne sont pas complémentées. Nous n'avons pas mis en évidence de différence significative entre les pH vaginaux des chiennes complémentées et ceux de celles qui ne l'étaient pas. En revanche, nous avons mis en évidence une chute marquée du pH vaginal lors du proœstrus. Ce dernier remonte ensuite progressivement à partir de l'ovulation, jusqu'à atteindre des valeurs similaires à celles obtenues avant le proœstrus. Cela n'a jamais été décrit auparavant chez la chienne. Une telle découverte ouvre de nouvelles perspectives dans le domaine de la reproduction canine, notamment dans le suivi du cycle sexuel de la chienne."