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Résumé : Description d'un cas d'abiotrophie corticale cérébrale en faveur d'un syndrome de dysfonction cognitive canin (SDCC) chez un chien Yorkshire terrier de 10 ans, ayant montré des troubles du comportement, une désorientation et une malpropreté d'apparition progressive. Présentation de la démarche diagnostique pour ce cas. La discussion porte ensuite sur le syndrome de dysfonction cognitive canin (SDCC) autrement appelé démence canine ou sénilité, son diagnostic et sa prise en charge thérapeutique.

Résumé : "Que se passe-t-il dans la tête d'un chien ? Pour y répondre, le neuroscientifique Gregory Berns a observé, grâce à l'imagerie cérébrale, le cerveau des chiens exposé à certaines stimulations telles que la promesse d'une friandise, l'odeur de leur maître ou celle d'un chat. Cette excursion inédite dans la matière grise canine qui aura duré quatre ans, complétée par des travaux pionniers sur d'autres mammifères tels que les otaries, qui peuvent apprendre à danser, ou les dauphins, qui "voient" le monde par écholocalisation, nous montre que les animaux réagissent comme les humains aux mêmes émotions." [source éditeur]

Résumé :

"Avec le vieillissement de la population, les troubles neurodégénératifs comme la maladie de Parkinson deviennent une préoccupation majeure. La dégénérescence de la substance noire, une région cérébrale impliquée dans le contrôle du mouvement, est un mécanisme clé de cette maladie. Bien que les connaissances en neurologie canine soient encore limitées, le cerveau du chien présente des similitudes anatomiques et fonctionnelles avec celui de l'homme, suggérant des mécanismes similaires. Cette thèse place ainsi le chien en modèle d'étude pour la maladie de Parkinson humaine. Elle vise à en dresser un état des connaissances et d'intérêt de l'utilisation de l'IRM pour l'étude de la maladie. L'enjeu est ensuite d'établir une méthodologie de séquence IRM pour étudier la substance noire canine. Cela permettrait de mieux comprendre les mécanismes sous-jacents à la maladie de Parkinson et ouvrir de nouvelles perspectives de traitement pour les maladies neurodégénératives du chien et de l'homme."