Documenten ROI 10 résultats

Annotatie : Quelques secrets et anecdotes à propos des chiens des rois de France et des puissants au XVIe et XVIIe siècle. L'auteur nous invite à plonger dans les siècles de la Renaissance et de l'époque moderne, sous les règnes de François 1er, Henri II, Charles IX, Henri III, Henri IV, Louis XIII, Louis XIV et Louis XV. Auxiliaires de chasse, mâtins, compagnons fidèles et choyés, reflet du statut de leur maître, les chiens sont présents à la cour des rois et certains sont passés à la postérité, représentés par les peintres ou objets de vers des poètes de l'époque. Quelques évènements et pratiques marquants, comme la création de la première école cynophile militaire en Autriche et les spectacles de Bull Baiting en Angleterre, sont également évoqués.

Annotatie :

Reproduction en couleurs de la Tapisserie de Bayeux, créée au XIème siècle sur toile de lin avec des laines de couleurs variées, conservée au musée de Bayeux. Sur 70 mètres de longueur à l'état réel, ce chef-d'œuvre retrace l'histoire de la conquête de l'Angleterre et la bataille d'Hastings en 1066 par Guillaume le Conquérant.

Sur la reproduction, l'ajout d'une légende en trois langues décrit les tableaux successifs ; une broderie en latin figure sur la tapisserie elle-même.

 

Annotatie :

Extraits et études de différents textes et ouvrages de la période. Les auteurs concernés sont classés par ordre alphabétique, de André Alciat à Voltaire. Des notes biographiques, des extraits d'œuvres qui se rapportent au chien, des commentaires, sont dédiés à chaque auteur, sous forme manuscrite en grande majorité.

 

N.B. Dans les dossiers sur le chien dans la littérature, le Dr Contart a classé les auteurs sur les différents siècles à partir de la date de leur naissance.

Annotatie :

Les trois dossiers "Linguistique" du Dr Contart rassemblent des documents sur les champs lexicaux et sémantiques liés au chien.

Le Dr Contart a pris des notes importantes et précises, à partir de nombreux documents.

Il a consulté des glossaires et des dictionnaires, des journaux, des ouvrages sur la langue française, ainsi que les ouvrages de sa collection pour en extraire les éléments concernant la linguistique. Comme pour toutes ses autres recherches, il est allé dans les bibliothèques municipales, aux Archives départementales et Nationales pour y compulser des sources et des ouvrages rares.

Un nombre important de notes figure sur de petits papiers épars.

Les notes et extraits prennent ici deux formes :

- des notes classées par thèmes ;

- des définitions sur un grand nombre de substantifs composés dans la constitution desquels entre le mot "chien".

Annotatie : "Avec Dangeau et son journal, vous allez vivre la vie de la cour du Roi Soleil, avec ses chasses, au chien couchant, au chien courant, au faucon. Vous allez entrer dans l'intimité du grand roi, de son fils que l'on appelle Monseigneur, de son frère que l'on appelle Monsieur, de toute sa famille, ses petits-enfants, ses filles, et toutes les grandes dames de la cour de France et les courtisans de Versailles. Les drame, les joies, les deuils, les naissances, la politique, le jeu, la religion, la médecine, toute la vie du grand siècle avec ses anecdotes amusantes et parfois consternantes."

Annotatie : "Biographie du Normand Jacques d'Yauville (1711-1784), qui servit la vénerie royale à Versailles pendant 58 ans et fut nommé premier veneur par Louis XV. Il est également l'auteur du très célèbre Traité de vénerie, publié en 1788 à la demande de Louis XVI. Ce passionnant portrait, rédigé par Philippe Dulac, ancien président de la Société de vénerie, avec la collaboration de Marie de Lestapis, est aussi une étude qui explique avec clarté l'organisation et la pratique de la vénerie royale au XVIIIe siècle à Versailles et dans les grandes forêts d'Ile-de-France." [source éditeur]

Annotatie :

"François Desportes (1661-1743), élève de Nicasius Bernaert, se rendit célèbre avec un Autoportrait en chasseur, qui lui permit d'être reçu à l'Académie à son retour de la Cour du roi de Pologne. Il devint peintre officiel du roi Louis XIV. Il exécuta alors les décors de la ménagerie de Versailles ainsi que diverses résidences royales (châteaux de la Muette et de Marly). Ses études sur la faune et la flore sont d'un réalisme admirable. Il est le grand peintre de la chasse, de la vénerie, des paysages et des animaux en action. Il dessina la tenture des Nouvelles Indes d'après les cartons d'Eckout qui fut tissée aux Gobelins. Cette monographie, écrite dans un style littéraire, et abondamment illustrée, est assortie du catalogue raisonné de l'œuvre de François Desportes, fruit des recherches de Georges de Lastic, reprises à sa mort par Pierre Jacky." [source éditeur]

Annotatie :

"Peut-on imaginer aujourd'hui le château de Versailles et ses jardins grouillant de vie animale ? Et pourtant les animaux de compagnie se comptaient par dizaines dans les appartements des princes, et jusqu'aux antichambres des rois, encombrées de niches : braques, épagneuls, carlins, singes vervets, chats angoras, aras et perruches ; la ménagerie abritait les animaux les plus rares, du coati au couagga, du casoar à la grue couronnée, que l'on surnommait l'« oiseau royal » ; le gibier était abondant dans le petit et le grand parc ; 2 000 chevaux logeaient à la petite et à la grande écurie, 300 chiens de chasse dans le grand chenil… L'ouvrage a pour ambition de faire revivre ce bestiaire, et de faire redécouvrir les hauts lieux de la vie animale versaillaise. Ainsi le merveilleux bosquet du Labyrinthe est évoqué par les fragments subsistants de ses fontaines sur le thème des fables d'Esope. Le décor du salon octogone de la ménagerie est lui aussi restitué. Les animaux eux-mêmes reviennent en foule à Versailles, car ils n'ont pas disparu sans laisser de traces : les meilleurs peintres du roi, de Bernaerts et Le Brun à Desportes et Oudry, ont fait les portraits des animaux exotiques, sauvages et familiers. Ils étaient tissés à la manufacture des Gobelins, mais aussi disséqués, gravés puis naturalisés à l'académie des Sciences et au Jardin du roi. On découvre ainsi le squelette du premier éléphant de Versailles, une éléphante offerte à Louis XIV par le roi du Portugal, qui vécut treize années à Versailles. Les chiens préférés des rois avaient aussi droit à leurs portraits avec leurs noms inscrits en lettres d'or : on fait connaissance avec Misse, Turlu, Tane, Blonde, Diane, Merluzine, Hermine et Cocoq… et même avec le Général, chat de Louis XV, portraituré par Oudry. Enfin on apprend la farouche résistance versaillaise à la théorie cartésienne des animaux-machines : dans le palais des rois de France, on n'a jamais douté que les animaux avaient une âme !" [source éditeur]