Documenti GRIFFON NIVERNAIS 7 résultats

Commento :

Au Parc de Blossac, les 28 et 29 mai 1960, était organisée, par la Société Canine du Poitou et le Comité des Expositions de Poitiers, une présentation de petite vénerie et de chasse sous terre, avec le Haut Patronage de M. le Président de la République et sous l'égide de la Société de Vénerie, de la Société Centrale Canine et de l'Association des Déterreurs.

Le fascicule édité présente d'abord les équipages de petite vénerie, avec une retranscription de l'allocution de monsieur Daubigné prononcée le 28 mai ainsi que l'organisation des deux journées ; le programme, les noms des juges, la présentation des différents prix à attribuer, des chiens et des lots, des rallyes et équipages.

 

Viennent ensuite les noms des équipages de chasse sous terre, sous la même forme et introduite par la retranscription de l'allocution du vicomte de Becdelièvre, prononcée le 27 mai 1960.

 

Les partitions de certaines fanfares figurent en illustrations.

Commento : Ce recueil rassemble les standards FCI des races de chiens courants de petite et de grande vènerie, ainsi que la liste des différents clubs de races de chiens courants recensés en 2003. Les portraits des chiens illustrant les différents standards ont été réalisés, selon les indications et directives des présidents des clubs de races, par le peintre Matthieu Sordot. Initié par Jean Paland, ce manuel des standards de chiens courants a été élaboré "grâce à la collaboration du Dr Jacques Bourdon, de Gérard Génichon et Michel Gourhan (qui a rassemblé les textes fournis par les clubs de races et les standards officiels, contrôlés par Raymon Triquet)".

Commento :

"Voici un ouvrage de Jean-Pierre Dupuy qui vous propose une exploration complète de cette race, illustrée de magnifiques photos et récits d'éleveurs. Sa domestication fût un processus qui s'est déroulé sur des centaines d'années, pour arriver aujourd'hui à un des meilleurs partenaire du chasseur au gros gibier. Ce chien, avec pour ancêtre le loup, a toujours été un fidèle auxiliaire du chasseur. Descendant du Gris de Saint Louis, qui composa les meutes royales pendant deux cent ans, le griffon Nivernais, comme son nom l'indique, trouve son berceau dans la Nièvre et le Morvan.

Il est éclipsé à la fin du XIXe siècle, mais renaît au début du XXe siècle, suite à l'acharnement d'amateurs passionnés de cette race. Reconnu comme race à part entière en 1925 par la Société d'amélioration des races, le premier standard est édité par la Société de Vénerie et le Club du Griffon Nivernais qui vient de naître. De santé robuste, le griffon Nivernais ne possède aucune particularité pathologique.

Chien passionné par la chasse, rapprocheur hors pair, bon meneur, bien gorgé, c'est un vrai chien courant Son courage, sa ténacité et son esprit d'initiative permettent de l'employer avec réussite. Doit-on seulement lui reprocher son côté têtu ! Préférant le sanglier, il chasse néanmoins tous les autres gibiers. Utilisé comme chien de pied et pour la chasse à tir, les expériences réalisées pour l'ameuter ont été décevantes, car il n'est pas un chien d'ordre.
Réunissant de plus en plus d'adeptes, le griffon Nivernais, a de belles années encore devant lui au vu de l'augmentation des populations de sangliers, son animal de prédilection. Vous voulez en savoir plus long, sur ses origines, ses caractéristiques, ses défauts, ses qualités... Ouvrez ce livre, lisez le et relisez le..." [Source éditeur]

Commento : Le griffon Nivernais fait partie de la grande famille des chiens courants français. Descendant du chien gris de saint Louis, il subit de nombreux croisements au cours de l'histoire. Surpassé par un métis au XIX° siècle, il renaît ensuite grâce à l'opiniâtreté d'amateurs passionnés, qui créent le Club de la race en 1925 et améliorent la race en sélectionnant les meilleurs sujets. C'est une race à faibles effectifs, qui ne présente pas de maladies particulières, exceptées les blessures et affections liées à la chasse. Fort de ses qualités morales, physiques et cynégétiques, le griffon Nivernais est utilisé comme chien de pied et pour la chasse de gibiers variés, essentiellement en battue.

Commento : "En sélectionnant de manière intensive les reproducteurs pour chaque race de chien, l'homme a entraîné la sélection et la transmission de maladies génétiques ainsi que le développement de maladies à prédisposition raciale. De nouvelles maladies héréditaires sont découvertes très régulièrement grâce aux recherches scientifiques. Les éleveurs souhaitant diminuer la prévalence de ces maladies génétiques utilisent de plus en plus les tests génétiques. Les tests génétiques permettent d'orienter la reproduction. Par ailleurs, les propriétaires de chien souhaitent s'interroger aussi sur ces maladies. Ainsi, au quotidien le vétérinaire doit savoir répondre aux questions sur les maladies génétiques ou à prédisposition raciale que ce soit de la part des éleveurs ou des propriétaires. Afin de faciliter l'accès à l'information pour le vétérinaire mais aussi pour les propriétaires et les éleveurs la création d'un site Internet nous a paru le plus adapté. Cette thèse traite uniquement des maladies ophtalmologique et cancérologique. Les autres groupes de maladies sont en cours d'étude par d'autres étudiantes, afin que le site Internet soit un outil le plus complet et le plus pratique possible pour ses futurs utilisateurs."