Kommentare : Un homme grand, très jeune et très beau, est recueilli à l'ancienne abbaye de Talloires, transformée en auberge, après que son avion a sombré dans le lac d'Annecy. Le jeune homme, immobilisé par la convalescence, idéaliste, voit dans l'accident un signe spirituel, qui l'incite à étudier la vie de Bernard de Menthon (en fait Bernard des Alpes, ou Bernard d'Aoste), fondateur de l'hospice du Mont Saint-Bernard. Il s'attache à l'inspiratrice de Bernard, la Dame du Lac, aussi nommée Notre-Dame des Neiges, ou encore Thiberge. Rétabli, il part pour le Mont Saint-Bernard, ce qui donne lieu à d'autres découvertes spirituelles, historiques, géographiques, sur le prieuré et ses alentours et sur son organisation. Les chiens sont assez souvent évoqués, avec leur comportement plutôt agressif envers les inconnus, et leur voracité.
- Métaphore (p. 41).
- Évocation du chenil du Mont Saint-Bernard (pp. 101-102).
- Des novices envoyés par le monastères sont partis avec des chiens à la rencontre des voyageurs (pp. 154-156).
- Deux jours pour retrouver des voyageurs, avec les chiens, en 1874 (p. 159).
- Un corps pouvait ne pas être retrouvé, même avec l'aide des chiens (pp. 169-170).
- Le novice des chiens prépare la pâtée ; soupe des chiens. Un malinois a été mis en pension ailleurs car les autres chiens le dévoreraient (p. 173, pp. 174-175). Plusieurs passages montrent en effet que les chiens de l'hospice ne sont pas faciles à manier (pp. 237-238).
- Évocations de "l'homme des chiens" (p. 188) et des chiens de l'hospice (pp. 194, 195, 233).
- Deux des Barry empaillés (p. 209, p. 219).
- Le garde-chien distribue la soupe aux chiens du chenil (p. 214, p. 217). Eric entrera aussi dans le chenil pour donner la soupe (p. 254).
- La congrégation a créé des chenils sur le versant italien (p. 224).
- Héroïsme des chiens et des religieux noté sur le livre d'or (pp. 240-250).
- Le novice promène les chiens, qui reniflent l'odeur de la viande et du poisson salé (p. 253).
- Expédition de recherche avec les chiens - quatre "molosses" sont laissés au chenil, car trop faibles (p. 260) -, qui sont décrits physiquement (pp. 258-260). Ils creusent le sillon et fouillent (pp. 263-267). Puis repos au chenil (pp. 257-269).
- Meute "paresseuse" au chenil ; la chienne Alpina est descendue dans une ferme plus bas pour sauver sa future portée (pp. 275-276).