Résumé : L'auteur développe une réflexion sur l'intelligence des animaux, en partant de l'héritage des philosophes et des scientifiques comme Descartes ou Buffon, qui leur nient cette capacité. En s'appuyant sur d'autres auteurs, sur des observations, sur des anecdotes historiques et sur ses propres déductions, il démontre l'intelligence des animaux, principalement des mammifères, dont le cheval, le chien, le chat. Il mentionne aussi leurs langages, leur capacité à se comprendre entre espèces, leur entraide, réfléchit sur leur instinct.
Le chapitre sur le chien s'intitule "sa bonté le chien". L'auteur montre comment l'animal était utilisé dès l'Antiquité grecque ou égyptienne pour la chasse, pour la divination ou comme gardien. Il évoque aussi son rôle dans les religions, les traditions concernant le culte des chiens morts, l'art et la statuaire des chiens. Différents exemples sont donnés concernant l'entraide des chiens, leur fidélité à l'homme ou encore leur utilisation comme chien commissionnaire. Les exemples sont pris dans l'histoire des personnages célèbres, dans les faits divers, mais ne sont pas sourcés.
Le dernier chapitre, intitulé "le procès des animaux", mentionne des procès intentés à des animaux par les autorités religieuses, notamment lors d'épidémies ; un jugement concernant une chienne est évoqué (p. 224).