Teulioù MEDECINE PREVENTIVE 11 résultats

Résumé : Dossier sur la médecine vétérinaire préventive. Le développement de la médecine préventive, qui concerne à présent toutes les disciplines vétérinaires, reflète l'évolution des attentes des propriétaires ainsi que la prise en compte du bien-être animal. Cette médecine personnalisée, qui pourrait répondre à la baisse de fréquentation des cliniques vétérinaires, nécessite la formation et la participation de toute l'équipe des soignants.

Résumé : En France et en Europe, la vaccination, pourtant élément clé de la médecine préventive, connaît une défiance grandissante de la population. Face aux croyances et idées reçues, ce dossier dresse un état des lieux de la couverture vaccinale des animaux et des effets indésirables rapportés par l'Anses. Il évoque également brièvement l'efficacité vaccinale et le bilan bénéfices risques, compte tenu de la réalité des chiffres et des faits probants. Un point détaillé sur l'hésitation vaccinale et les bonnes pratiques pour vacciner les chiens et les chats.

Résumé : Synthèse sur les objets connectés pour chiens qui, loin d'être de simples gadgets, proposent tout un éventail de fonctionnalités intéressantes et de plus en plus sophistiquées. Outre le collier GPS qui reste l'objet connecté le plus répandu, certains accessoires permettent une surveillance de critères de santé, d'autres permettent d'occuper les chiens en l'absence de leur maître. Un point sur les colliers augmentés, accessoire biométrique intelligent utile en médecine préventive, sur les avancées attendues pour l'intelligence artificielle et sur l'accueil favorable des propriétaires à la téléconsultation.

Résumé :

Synthèse sur la médecine préventive appliquée à la prise en charge de l'arthrose chez le chien.

Après avoir rappelé la définition de la médecine préventive, en quoi consiste l'arthrose et ce qui est à l'origine des douleurs chroniques, cet article explique comment prévenir l'apparition de la maladie, éviter son développement et écarter les complications. 

Tableaux : les mesures de médecine préventive primaire, secondaire et tertiaire pour l'arthrose.

Résumé : "Les maladies vectorisées sont à l'origine de préoccupations croissantes, de par leur importance et leur extension. Certaines de ces maladies, dont la leishmaniose et la borréliose de Lyme, sont communes au chien et à l'homme, qui s'infectent tous deux à la suite d'un repas sanguin par un arthropode vecteur et sont au cœur de nombreuses inquiétudes en santé publique. Le chien pouvant être le réservoir d'agents pathogènes à caractère zoonotique, la maîtrise de ses maladies apparaît capitale et a de nombreux enjeux en médecine vétérinaire comme en médecine humaine. La triade hôte-vecteur-agent pathogène est un système complexe, comprenant de nombreuses interactions entre ses protagonistes. L'arthropode module l'immunité de l'hôte par l'intermédiaire de sa salive, et tend à favoriser l'infection par l'agent pathogène. L'hôte met en place de complexes réponses immunitaires dont les caractéristiques détermineront la résistance ou la sensibilité à la maladie. Si la prophylaxie contre les vecteurs apparaît comme un élément clé dans la prévention des maladies vectorisées, les vaccins visant à stimuler une réponse immunitaire adaptative dirigée contre l'agent pathogène constituent un second axe de lutte. Trois vaccins sont actuellement disponibles sur le marché français, à savoir les vaccins contre la leishmaniose, la babésiose et la borréliose de Lyme. Leurs enjeux et leur efficacité diffèrent, et la consultation de médecine préventive a pour but d'adapter le protocole vaccinal à chaque patient, en fonction de l'anamnèse, des commémoratifs et du mode de vie de l'animal."

Résumé :

"Les zoonoses sont des maladies dont le pathogène, bactérie, virus ou parasite, peut être transmis naturellement d'un animal vertébré à l'Homme. La connaissance des modalités de transmission de chacune d'elles que ce soit à l'animal ou à l'Homme, permettent la mise en place de mesures préventives efficaces et adaptées. Les données épidémiologiques permettent de déduire le risque d'exposition pour agir en conséquence. Le risque médical est également pris en compte avec, pour certaines, des signes peu spécifiques et parfois communs, ou pour d'autres des signes cliniques évocateurs. Lors de gravité accrue notamment chez les personnes fragiles, il est d'autant plus important de sensibiliser les propriétaires d'animaux.

Les connaissances doivent être tenues à jour dans un contexte de réchauffement climatique et d'évolution des zones d'endémie.

L'élaboration de fiches pratiques de prévention permet une diffusion claire et succincte d'informations aux propriétaires d'animaux. En effet, des mesures préventives aussi bien médicales qu'hygiéniques sont communiquées afin d'éclairer le grand public. Une discussion plus approfondie, notamment lors de consultations de médecine préventive, permet une vaccination adéquate ainsi que la mise en place de traitements antiparasitaires adaptés. Des gestes simples de prévention peuvent aussi être mis en place, avec une précaution plus particulière chez les personnes fragiles."