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Commento : Le laboratoire Boehringer a réalisé une enquête sur l'opinion des propriétaires concernant les plans de santé annuels personnalisés. Résultats et conclusions ont été divulgués à l'Afvac lors d'un symposium. Les plans de santés proposés dans certaines cliniques vétérinaires permettent de mensualiser les paiements pour les soins de base et préventifs. L'article présente les différents aspects auxquels il faut songer lors de la mise en place d'un tel système : le contenu du contrat, la durée, les tarifs...

Commento :

La première partie du livre présente des connaissances générales sur les soins à apporter aux chiens de chasse, l'élevage, le logement avec la description du chenil, l'alimentation et les maladies.

La seconde partie, intitulée Des chiens de chasse, et de la manière de les dresser, présente les races utilisées pour la chasse à courre et la chasse à tir : limiers, chiens d'ordre, bassets, lévriers, chiens de force. Un lexique des "termes de chasse usités à l'égard des chiens" clôt l'ouvrage.

Commento :

"Toutes les clés pour reconnaître, identifier et comprendre l'arthrose chez le chien. L'arthrose est l'affection articulaire la plus fréquente chez nos animaux de compagnie, qui se développe avec la vieillesse, presque tous les chiens de plus de 7 ans ont de l'arthrose.

Tout ce qu'il faut savoir pour la prise en charge médicale de l'arthrose, mais aussi pour les médecines douces (ostéopathie, phytothérapie, acupression, etc.) et l'accompagnement (exercices, massages, alimentation, etc.)." [source éditeur]

Commento : "La multiplicité des sources de douleur en médecine vétérinaire et les implications cliniques, éthiques et économiques de sa prise en charge chez le chien et le chat en font un sujet de première importance. Réalisée environ quinze ans après une précédente enquête auprès des praticiens de la région Rhône-Alpes, notre étude avait le double objectif de faire un nouveau bilan sur les pratiques des vétérinaires français et de les interroger sur la gestion de la douleur chronique, la pharmacopée alternative et les techniques non pharmacologiques dans le traitement de la douleur, la possibilité de référer et le lien entre douleur et euthanasie. Nous avons observé une évolution positive des pratiques avec notamment une meilleure utilisation des morphiniques. Cependant, certaines insuffisances constatées en 1999 ont de nouveau été mises en évidence, comme le faible intérêt porté aux grilles d'évaluation de la douleur ou encore des lacunes dans les connaissances des praticiens sur les traitements à leur disposition. Par ailleurs, notre enquête a révélé que les vétérinaires interrogés sont assez souvent démunis face à la douleur chronique et que celle-ci est même un motif d'euthanasie non négligeable et peut conduire à une décision de référer. L'utilisation de l'homéopathie et de la phytothérapie dans le traitement de la douleur est assez marginale. Au sujet des techniques non pharmacologiques de traitement de la douleur, notre enquête révèle une grande méconnaissance de ces méthodes mais aussi une certaine curiosité à leur égard."

Commento : "Angiostrongylus vasorum est un nématode Metastrongyloidea découvert chez le chien au 19ème siècle dans le Sud-Ouest de la France, zone reconnue depuis comme foyer endémique du parasite. Angiostrongylus vasorum semble actuellement s'étendre en-dehors de ses foyers traditionnels et être une cause de maladie de plus en plus fréquente chez le chien. Cette étude a inclus un total de 240 chiens afin de déterminer la prévalence de l'Angiostrongylose canine dans le Sud-Ouest de la France ainsi que de comparer les performances de deux méthodes diagnostiques, la coproscopie (recherche des L1) et la sérologie (mise en évidence des antigènes d'A. vasorum). Une prévalence de 1,25% a été trouvée, en adéquation avec les prévalences rapportées dans les autres pays hébergeant le parasite. Pour ce qui est des méthodes diagnostiques, la méthode coproscopique par sédimentation classique a détecté le même nombre de cas que la méthode sérologique, les deux ayant échoué sur un cas différent. Il n'existe donc pas de méthode avec une sensibilité de 100% et il semble ainsi utile de combiner plusieurs méthodes diagnostiques différentes en cas de suspicion d'Angiostrongylose canine."

Commento : "Objectif : La parvovirose est une gastro-entérite hémorragique virale affectant principalement les chiots. Les symptômes digestifs présents conduisent à un état de dénutrition chez ces jeunes animaux dont les besoins énergétiques sont élevés. L'hospitalisation pouvant être longue, la nutrition occupe une place importante dans le traitement. Pourtant, une seule étude a été réalisée sur son intérêt lors de parvovirose. L'objectif de cette étude est donc d'évaluer l'influence de la nutrition chez le chiot atteint de parvovirose hospitalisé en soins intensifs. Matériel et Méthodes : Étude rétrospective. Résultats : Trente-neuf chiots atteints de parvovirose admis au SIAMU entre 2010 et 2014 ont été inclus dans l'étude. La prise volontaire de nourriture au cours des 48 premières heures suivant l'admission était un facteur pronostic positif de survie des chiots. La couverture des besoins énergétiques au cours de l'hospitalisation entraînait une rémission clinique plus rapide des symptômes digestifs, une durée d'hospitalisation plus courte et l'apparition moins fréquente de complications. Elle était facilitée par la mise en place d'une alimentation entérale précoce, qui n'avait aucune autre influence sur l'évolution des chiots pendant l'hospitalisation. L'alimentation assistée grâce à la mise en place d'une sonde ou d'une alimentation parentérale, était associée à une hospitalisation plus longue et davantage de complications, sans que la survie n'en soit modifiée. Conclusion : La couverture des besoins énergétiques de la nutrition semble avoir une influence positive sur l'évolution du chiot atteint de parvovirose. Il était cependant difficile de la dissocier de l'influence de la sévérité de la maladie à l'admission"