En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

Documentos Maurey-Guenec, Christelle 3 résultats

Filtro
Sélectionner : Todos / Ninguno
P Q
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.

Comentario : "La leptospirose est une zoonose répandue mondialement qui présente des enjeux tant en médecine humaine que vétérinaire, le chien pouvant être une source de contamination pour l'Homme. L'émergence de nouveaux sérovars parmi la population canine et de nouveaux réservoirs d'espèces sauvages notamment en Europe font de la leptospirose une maladie en constante évolution et dont la couverture vaccinale doit être adaptée régulièrement en identifiant les serovars les plus répandus. Par conséquent, il est nécessaire de faire un bilan récent des données de diagnostic, des caractéristiques des foyers de leptospirose canine et des données de séroprévalence en France. Pour ce faire, une étude épidémiologique en partenariat avec IDEXX a été réalisée à partir d'une population conséquente de 3 036 chiens suspects de leptospirose ayant fait l'objet d'une demande d'analyse MAT et/ou PCR entre 2013 et 2015. Sur la période d'étude, le taux de confirmation de la maladie est de 20% et l'intérêt de réaliser des cinétiques et de coupler les analyses MAT et PCR dans la démarche diagnostique ont été confirmés et notamment dans la détection d'une leptospirurie. 612 foyers de leptospirose canine en France ont été identifiés et localisés et le signalement des chiens à risque a été souligné. Les données de séroprévalence sont stables par rapport aux études précédentes. Elles montrent que les sérogroupes circulants et infectants majeurs en France sont Australis, Icterohaemorrhagiae et Grippotyphosa. L'émergence progressive des sérovars Saxkoebing et Pomona dans certaines régions de France est cependant à surveiller."
Comentario : "La leptospirose est une zoonose répandue mondialement qui présente des enjeux tant en médecine humaine que vétérinaire, le chien pouvant être une source de contamination pour l'Homme. L'émergence de nouveaux sérovars parmi la population canine et de nouveaux réservoirs d'espèces sauvages notamment en Europe font de la leptospirose une maladie en constante évolution et dont la couverture vaccinale doit être adaptée régulièrement en identifiant ...

LEPTOSPIROSE ; ZOONOSE ; EPIDEMIOLOGIE ; ANALYSE MEDICALE ; DEPISTAGE ; CARNIVORE DOMESTIQUE ; DIAGNOSTIC ; PROPHYLAXIE ; VACCIN ; MEDICAMENT

... Para leer [+]

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.

Comentario :

"La Borréliose de Lyme est due à des spirochètes regroupées sous un complexe nommé Borrelia burgdorferi sensu lato. En médecine vétérinaire, le chien pourrait représenter un atout majeur afin de révéler la présence du spirochète dans certaines zones géographiques et servir de sentinelle pour l'Homme. Le chien est l'espèce domestique la plus sensible à la borréliose de Lyme chez qui la maladie s'exprime principalement sous forme d'arthrite ou de néphrite. Le diagnostic de cette maladie est difficile. Il est cependant possible de détecter les animaux séropositifs grâce à des tests mettant en évidence des anticorps anti-C6, antigène correspondant à une zone invariable d'une protéine de surface du spirochète. Nous avons étudié des résultats issus de la banque de données du laboratoire IDEXX basés sur la réalisation de tests 4Dx Plus et LymeQuantC6 par des vétérinaires installés en France métropolitaine. Ces derniers étudient de manière qualitative et quantitative la séropositivité à l'antigène C6 chez les chiens. La fréquence d'animaux positifs en test qualitatif est de 2,7 % (53/1975) et de 31,1 % (170/546) en test quantitatif. Ces résultats montrent une circulation de Borrelia burgdorferi toute l'année avec une augmentation des cas en période estivale chaude et humide. La répartition géographique des chiens séropositifs s'observe sur l'ensemble du territoire métropolitain avec une prédominance des régions du Centre-Est et de l'Est de la France.
Globalement, cette répartition temporelle et géographique des chiens séropositifs concorde avec les résultats observés chez l'Homme. Cette observation vient renforcer la position du chien comme une sentinelle adaptée révélant la circulation de la Borréliose de Lyme dans certaines régions de France."

Comentario : "La Borréliose de Lyme est due à des spirochètes regroupées sous un complexe nommé Borrelia burgdorferi sensu lato. En médecine vétérinaire, le chien pourrait représenter un atout majeur afin de révéler la présence du spirochète dans certaines zones géographiques et servir de sentinelle pour l'Homme. Le chien est l'espèce domestique la plus sensible à la borréliose de Lyme chez qui la maladie s'exprime principalement sous forme d'arthrite ou de ...

MALADIE DE LYME ; TIQUE ; DIAGNOSTIC ; PARASITE ; SYMPTOME ; MEDICAMENT ; PROPHYLAXIE ; RECHERCHE ; ANALYSE MEDICALE

... Para leer [+]

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

Comentario :

L'urolithiase oxalo-calcique est fréquemment observée chez les chiens de petite taille, notamment chez les Yorkshire terriers. Parmi les recherches menées sur les calculs d'oxalate de calcium (OxCa), aucune ne s'est intéressée spécifiquement à la race Yorkshire terrier.

 

Après une synthèse des connaissances actuelles à propos de l'urolithiase oxalo-calcique chez le chien, une étude rétrospective a été menée sur la population de chiens de race Yorkshire terrier présentée au Chuv-Ac de l'EnvA entre 2003 et 2021 chez qui des calculs d'OxCa ont été diagnostiqués.

 

L'objectif de cette étude était d'établir un profil épidémiologique et clinique des chiens atteints de maladie lithiasique oxalo-calcique au sein de cette race et d'évaluer les prises en charge actuellement réalisées pour la traiter. Les résultats montraient une prédominance des mâles non stérilisés, d'environ 9 ans et en discret embonpoint au diagnostic. La grande majorité des chiens présentaient une calcémie ionisée dans les valeurs de référence bien que les chiens présentant des calculs aient une calcémie ionisée supérieure au groupe témoin. Si la plupart des calculs étaient vésicaux, près d'un quart des calculs se trouvaient dans le haut appareil urinaire et l'urètre pénien était le site préférentiel des urétrolithes. À l'admission, près de la moitié des chiens présentaient des signes de cystite et environ 20 % présentaient des signes de minéralisation rénale, suggérant la possible existence de plaques de Randall, non décrite chez les chiens à ce jour. Les calculs de weddellite étaient plus fréquents que ceux de whewellite dans l'étude. Un taux de récidive faible était observé mais il est à nuancer car l'étude était rétrospective et peu d'animaux ont pu avoir un suivi satisfaisant.

 

Cette étude présente des limites de par sa nature rétrospective et de par son manque de puissance statistique à certains égards. Une étude prospective pourrait permettre de remédier à ces limitations et d'explorer davantage les hypothèses d'une hypercalciurie idiopathique, dont les mécanismes seraient à caractériser, et d'une composante génétique, notamment en examinant les pedigrées des animaux atteints d'urolithiase oxalo-calcique.

Comentario : L'urolithiase oxalo-calcique est fréquemment observée chez les chiens de petite taille, notamment chez les Yorkshire terriers. Parmi les recherches menées sur les calculs d'oxalate de calcium (OxCa), aucune ne s'est intéressée spécifiquement à la race Yorkshire terrier. Après une synthèse des connaissances actuelles à propos de l'urolithiase oxalo-calcique chez le chien, une étude rétrospective a été menée sur la population de chiens de r...

CALCUL ; DIAGNOSTIC ; PRONOSTIC ; PREVENTION ; RECHERCHE

YORKSHIRE TERRIER

... Para leer [+]

Sélection

Filtro

Descriptores
Race
Fecha de publicación
Tipo