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Commento : Le chien terre-neuve possède des aptitudes qui justifient son utilisation en sauvetage aquatique. Aujourd'hui, en France, sa formation est gérée par deux grandes associations mais elle n'est pas reconnue officiellement par les administrations. La pathologie associée à cette activité est liée à des particularités individuelles, à l'entrainement ou encore au contact de l'eau. Une étude rétrospective en France détermine les principales affections et leurs conséquences sur la carrière sportive des chiens.

Commento : L'olfaction du chien est remarquablement performante grâce à un rapport structure-fonction très élaboré, non seulement à l'échelle anatomique mais encore aux niveaux histologique et nerveux. C'est pourquoi la gendarmerie nationale utilise cet animal pour la recherche d'explosifs. Le chien est sélectionné sur sa race, sa motivation au jeu et bien évidemment sur ses capacités olfactives. On developpe ensuite ses aptitudes naturelles pour le dresser à la recherche de différents types d'explosifs, on lui associe un maitre suivant des critères de compatibilité, puis on envoie travailler cette équipe sur le terrain. La recherche représente toujours un jeu pour le chien ; ainsi, il doit impérativement être recompensé après chaque succès. Cependant, ce système olfactif incomparable peut être affecté, voire inhibé par différentes maladies ou perturbations extérieures telles que la pollution ou certains médicaments.

Commento : La parvovirose canine est une maladie fréquente et potentiellement mortelle qui s'exprime cliniquement par une gastro-entérite aiguë. Trois souches peuvent être à l'origine de l'infection : la souche CPV2 qui est la souche originale et les souches CPV2a et CPV2b, plus virulentes et actuellement prévalentes. Les chiots âgés de 6 semaines à 6 mois sont les cibles préférentielles du parvovirus. En effet, la protection conférée par la vaccination est incomplète en raison d'une part de l'interférence des anticorps maternels et d'autre part de l'utilisation de vaccins CPV2 qui n'immunisent pas de manière aussi efficace contre les souches CPV2a et CPV2b. Le test PCR mis au point dans cette étude permet à la fois de détecter la présence du parvovirus dans des échantillons de féces ou d'intestin et d'établir un diagnostic de souche en moins de 48 heures. Ce test présente une sensibilité supérieure à l'immunochromatographie et à la sérologie. Toutefois, tous les chiens testés avec cette technique présentent une excrétion fécale de parvovirus. Ce résultat suggère l'existence d'infectés asymptomatiques à l'origine de faux positifs. A l'avenir, le développement d'un test PCR quantitatif permettrait d'augmenter la spécificité du diagnostic.

Commento : Le syndrome hypersensibilité-hyperactivité et l'anxiété de séparation, bien que d'étiopathogénie différente, se rapprochent par leurs manifestations, comme les destructions ou les souillures. Le chien doit être capable, grâce à une thérapie comportementale, d'acquérir de nouvelles bases d'apprentissage. La phytothérapie, en remplacement de l'allopathie traditionnellement utilisée, semble apporter par l'effet sédatif de plantes telles que l'Aubépine épineuse, le Houblon, le Pavot de Californie et la Valériane officinale, un certain confort pour les propriétaires sans compromettre les facultés d'apprentissage du chien.

Commento : Le chien de montagne des Pyrénées appartient au 2ème groupe Molossoide type montagne. C'est un chien de très grand format possédant une robe de couleur blanche pouvant porter quelques taches de couleur grise ou orange. Le Montagne des Pyrénées a été de tous temps utilisé pour la garde des troupeaux contre tous les prédateurs - hommes ou animaux - ses excellentes aptitudes physiques en faisaient un allié précieux pour les patres pyrénéens qui l'utilisaient surtout la nuit. Malgré sa grande robustesse, la montagne des Pyrénées est confronté à un certain nombre de maladies héréditaires ou à prédisposition raciale. Cependant l'étude de ces maladies génétiques montre que ce chien est peu touché en terme de pourcentage par les différentes tares rencontrées au sein de l'espèce. De plus, le montagne des Pyrénées est atteint par un nombre relativement faible de tares génétiques. La baisse inquiètante du nombre de ses inscriptions au L.O.F. ne provient donc pas de problèmes de santé liés aux maladies génétiques. Le désinterêt qu'il semble inspirer peut provenir des deux traits principaux de son caractères : son besoin d'indépendance et son refus d'obéissance. Pourtant il serait dommage de voir disparaitre ainsi ce chien magnifique aux qualités physiques exceptionnelles et au dévouement indéfectible envers son maître.