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Teulioù Edition Plon, Nourrit et Cie, imprimeurs-éditeurs 4 résultats

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Résumé :

L'album contient vingt-neuf histoires humoristiques sur les chiens de compagnie.

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Dibab
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Résumé :

Zette est l'histoire d'une petite fille, dont la croissance est décrite par étapes, depuis sa première semaine jusqu'à ses 15 ans. C'est une enfant choyée que toute sa famille admire. On suit ses petites aventures, contées avec charme et tendresse, parsemées de fines remarques sur la psychologie enfantine. Une manière surannée, en revanche, de dépeindre la domestique.

 

Turc est le chien de la maison (p. 12). C'est un "bon chien" qui peut même rire (p. 77), est capable d'ironie (p. 78) ou d'étonnement (p. 80).

 

Dans le chapitre intitulé Zette et les bêtes (pp. 119-127), la petite fille se promène avec le chien dans le jardin. Turc tient du chien de montagne, du braque et de l'épagneul. Cette promenade au jardin permet de percevoir les réflexions de Zette sur les animaux : Turc est un ami familier, contrairement aux autres bêtes (p. 123). Il est épouvanté par une tortue (p. 125). Un autre chien, Fox, comprend ce que sa maîtresse lui dit (p. 125). P. 126 : Turc vient à son secours, quand elle a peur d'un papillon. Mais il s'élance sans l'attendre dans le souterrain (p. 127).

P. 131 : Turc a été initié à la chasse aux rats.

 

Dans le chapitre intitulé Le petit lapin (pp. 197-208), Turc fait fuir le gibier à la chasse. Exemple d'un chien qui a été fusillé pour cette raison. Mais Turc fait aussi office de défenseur, dans cette lamentable parodie de chasse.

 

Une levrette, chienne d'appartement, sur des coussins (p. 230) et un caniche avec un nœud rose et se faisant graisser la patte par un domestique (p. 231) font penser à Zette que des animaux sont mieux traités que les hommes.

 

Elle pleure de voir un homme avec un pauvre caniche noir très maigre et plein de croûtes. Elle empêche l'homme de noyer le chien et le recueille. Elle prend soin du petit caniche qu'elle nomme Moïse. C'est l'amour fou, mais elle le rejette au bout d'un an, alors que Moïse lui reste fidèle (pp. 232-246).

Résumé : Zette est l'histoire d'une petite fille, dont la croissance est décrite par étapes, depuis sa première semaine jusqu'à ses 15 ans. C'est une enfant choyée que toute sa famille admire. On suit ses petites aventures, contées avec charme et tendresse, parsemées de fines remarques sur la psychologie enfantine. Une manière surannée, en revanche, de dépeindre la domestique. Turc est le chien de la maison (p. 12). C'est un "bon chien" qui peu...

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Résumé :

La narratrice de cet ouvrage peint sur un ton plaisant et cultivé la chronique de sa vie quotidienne, baignée de la présence de son chien. Il est très intelligent, ce qui est prouvé par de nombreux exemples relatés dans le livre, à moins que ce soit aussi l'interprétation donnée par la narratrice pour rendre logiques, presque humains, drôles aussi, les faits et gestes de son attachant compagnon. Elle le fait parfois dialoguer avec elle, lui attribue des intentions mâtines ou des réflexions profondes.

 

Bopun chien "blanc, mâle, frisé" (p. 4) est né le 11 novembre 1877. Il a trois semaines quand il arrive comme chien de compagnie chez la narratrice, elle-même âgée alors d'une trentaine d'années. Avec "le maître de Bop et de la maison", son mari, elle entame l'éducation du chiot, en convenant de ne lui apprendre aucun tour mais de favoriser ses bons instincts. Au bout de cinq à six mois, Bop sort dans la rue et la vie sociale de ses maîtres se confond désormais avec la sienne. Il se promène, voyage, se divertit avec eux. Cela permet à Bop de côtoyer les célébrités de la fin du XIXème et du début du XXème siècle. Il devient, semble-t-il, célèbre parmi elles. 

 

Par tous ses agissements, Bop montre une telle indépendance que l'on comprend bien qu'il "n'est pas un chien, mais une personne raisonnable avec qui l'on peut s'expliquer". 

 

Henry Gréville est le pseudonyme d'Alice Fleury, romancière et auteure dramatique (1842-1902).

Résumé : La narratrice de cet ouvrage peint sur un ton plaisant et cultivé la chronique de sa vie quotidienne, baignée de la présence de son chien. Il est très intelligent, ce qui est prouvé par de nombreux exemples relatés dans le livre, à moins que ce soit aussi l'interprétation donnée par la narratrice pour rendre logiques, presque humains, drôles aussi, les faits et gestes de son attachant compagnon. Elle le fait parfois dialoguer avec elle, lu...

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Résumé :

"Comment l'affirmation de la suprématie de l'homme sur l'animal, dans l'idéologie occidentale, a-t-elle servi à légitimer d'autres dominations et discriminations à l'intérieur de l'humanité ? Telle est l'interrogation posée par cet ouvrage. L'auteur ne présente pas une dénonciation de type écologique des traitements iniques infligés à nos "frères inférieurs", mais l'analyse du processus qui conduit à extraire de l'humanité des êtres humains et à les traiter comme des bêtes. Cette opération de "bestialisation" provoque la "diabolisation" d'"espèces" entières de populations : les femmes, les Barbares, le peuple, l'Autre... Certains propos, pudiquement oubliés, des plus grands penseurs pourraient prêter à sourire s'ils n'avaient préparé ou accompagné des pratiques d'exclusion parfois meurtrières". [source éditeur]

- Au Moyen-Age, réflexions sur les animaux  : des mesures sont prises pour barrer l'accès des animaux aux églises (p. 63) ; le chrétien retrouvera-t-il son chien au paradis  (p. 95) ?

- Citation d'Adam Smith sur le commerce, qui distingue l'homme de l'animal : il évoque le chien (p. 73 ).

- Mention de l'utilisation des animaux, dont les chiens, à la guerre (p. 129).

- L'auteure s'interroge sur la "catégorie" des animaux de compagnie et les qualités ou les défauts qui leur sont attribués, en commençant par le chien, depuis les philosophes antiques. Elle poursuit aussi la question de Voltaire : "pourquoi le chien est-il devenu une injure ?" (pp. 142-148).

- Allusion à Wagner et à son chien Pépi (p. 325).

En fin d'ouvrage figurent un index des noms d'auteurs ainsi qu'un index des noms d'animaux et de monstres cités. Les ouvrages utilisés par l'auteure, principalement des ouvrages de philosophie, sont cités en notes de bas de page.

Résumé : "Comment l'affirmation de la suprématie de l'homme sur l'animal, dans l'idéologie occidentale, a-t-elle servi à légitimer d'autres dominations et discriminations à l'intérieur de l'humanité ? Telle est l'interrogation posée par cet ouvrage. L'auteur ne présente pas une dénonciation de type écologique des traitements iniques infligés à nos "frères inférieurs", mais l'analyse du processus qui conduit à extraire de l'humanité des êtres humains et ...

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