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Résumé : "La question était : quand le ladre a-t-il été considéré comme nocif ? L'auteur révèle d'abord les différentes acceptions du mot selon les époques. Il retient le sens de l'absence de pigmentation et étudie les textes concernant le cheval, du XIXe au XIVe siècle, en relevant les croyances que l'on partageait même avant que n'existât le mot ladre. Pour le chien, il relate de la grande querelle dont il a été témoin entre les anti-ladre et ceux qui en niaient la nocivité, presque tous vétérinaires des deux bords. De nos jours, c'est encore pour l'esthétisme qu'on refuse parfois le ladre."