Résumé : Dix-huit récits, histoires, séries d'images, majoritairement pour enfants, qui sortent de l'ordinaire :
- Histoire de Jules l'imprudent : Neptune, le chien de Jules, repêche l'enfant qui est tombé dans l'étang puis court chercher de l'aide.
- Le chien et le  saucisson : sorte de bande dessinée en douze images légendées, dans laquelle un dogue doit attraper une saucisse.
- Nos amis les animaux (histoires de P. Giron) : trois récits, dont deux sur les chiens auxiliaires (le saint-bernard, le chien sanitaire).
- Les règlements sur les chiens : série de dessins légendés : il faut constamment tenir les chiens en laisse, ce qui peut causer des déboires.
- Mon bon vieux chien (récit de S. de Bouard) : la narratrice, jeune fille, a eu un chien quand elle était petite. Il s'appelait Sultan, c'était un épagneul et un chasseur. Son défaut est qu'il aime les petits chiens. Il est fidèle et ne se remet pas du départ de sa maîtresse.
- Une histoire à deux morales : Toby est le chien de M. Barbichon. Mais il s'enfuit au loin dès que c'est possible. L'histoire est illustrée de six belles vignettes.
- King et Trim (récit moralisateur de Marie de Gentelles) : King et Trim sont les chiots de Mira, une chienne épagneule. Leurs maîtres se défont de King, qui est envoyé chez un marquis chasseur.
- A la suite de ce récit, une sorte d'aphorisme où l'on apprend que pour empêcher les petits chiens de grandir, on leur faisait boire de l'eau-de-vie -.
- Vengeance de Poupée (récit moralisateur, illustré de vignettes, de Paul Giron) : Une histoire de poupées, avec un petit chien, Black, qui déchire l'une d'elles.
- Un chien trop attaché (quatre vignettes de R. Dubois : un monsieur a attaché son chien pour qu'il le traîne à bicyclette. C'est sans compter l'apparition d'un chat...
- Un singulier manchon (histoire illustrée de neuf vignettes, de Camille de Boissonnet) : Madame Austreberte Dubus a un petit bouledogue qu'elle affectionne. Il se nomme Trompette, à cause de sa queue. Un jour, il rentre dans un manchon, dont il ne peut plus sortir. Tout le monde s'affole, on frappe du bâton cette bizarre chose mouvante.
-  Mésaventure : sorte de fable, illustrée de deux vignettes, où un jeu d'enfant se termine par une chute. Il y a un chien, Azor.
- Histoire d'un homme et d'un chien (Aug. Turchi) : pendant que sa maîtresse bavarde, un chien noir, Ménélik, se met en quête de compagnie, peut-être d'un congrès de chien où l'on discuterait de la laisse et de la muselière. L'avocat Camomilla lui marche sur la queue. Une violente agitation s'ensuit, le chien doit sûrement être enragé, il est tué, sa peau servira pour faire des gants (pp. 84-89). L'avocat est convaincu par le peuple d'être atteint d'hydrophilie, et les violentes agitations de tous s'imbriquent de plus belle.
- Qui boira le lait ? (A. Verley) : historiette ornée de sept gravures, où des chiens profitent d'une distraction de la laitière pour boire tout le lait tiré.
- L'artiste et le critique d'art : histoire drôle, au musée, en six vignettes, avec deux hommes et un chien.
- La cascade de la guêpe : six vignettes légendées, qui sont des histoires en cascade, en partant d'une guêpe, que guette un oiseau. En passant, un chien, un chat, un enfant. Moralité : quand on s'attaque à un autre, toujours, un plus grand que soi vient prendre le dessus, et ainsi de suite, jusqu'à la victoire du premier.
 
Les trois dernières histoires sont des suites de vignettes légendées, dans lesquelles est toujours présent un chien :
- Le chien de Macrobus : comment le chien de M. Macrobus connut les propriétés des lentilles. 
- La vache et le rapin ou exploit inattendu d'un chien.
- Histoire sans paroles.