Teulioù HEPATITE CONTAGIEUSE 10 résultats

Résumé : Lors des "Rencontres vaccinologie" organisées par Boehringer Ingelheim, les Drs Jean-François Ravier, Pascal Prommier et Laurent Fisher ont présenté les dernières recommandations internationales sur la vaccination. Les protocoles évoluent vers une personnalisation en fonction du profil de l'animal (distinction entre les valences "essentielles" et les valences "non essentielles" sélectionnées en fonction du mode de vie du chien) ainsi qu'un renforcement de la primovaccination. Les intervalles de rappel, l'utilité de la sérologie et les questions relatives aux cas particuliers sont aussi développés dans cet article.

Résumé :

Synthèse sur l'hépatite de Rubarth chez le chien, autrement appelée hépatite contagieuse canine ou adénovirose. Cette maladie rare, qui présente une forme atténuée dans 2/3 des cas, peut s'avérer mortelle pour les chiots qu'elle touche plus gravement.

 

Description du mode de contamination pour cette affection virale, des symptômes observés, très variables selon la gravité de l'infection contractée (forme suraiguë, aiguë, atténuée ou chronique), des traitements à mettre en place et des mesures préventives reposant sur la vaccination.

Résumé :

Présentation des mises à jour du guide de la World Small Animal Veterinary Association relatif à la vaccination des chiens et des chats. Résumé des principales évolutions par rapports aux  précédentes recommandations émises en 2016. Chez le chien, elle concernent les valences essentielles, la primovaccination et l'interférence avec les anticorps d'origine maternelle, la durée d'immunité des valences essentielles et la vaccination contre la rage. 

Les experts ont également revu les recommandations concernant la vaccination des animaux accueillis en refuge. 

Résumé : L'hépatite chronique du dobermann est décrite pour la première fois en 1982 par Johnson. Elle affecte principalement les femelles et la moyenne d'âge des animaux atteints est de 4.5 ans environ. Au début de son évolution, l'affection reste silencieuse. Quand les symptômes se déclarent, on observe les signes d'une insuffisance hépatique avec anorexie, perte de poids, polyuro-polydipsie, troubles digestifs, ascite. Les animaux sont souvent présentés à un stade avancé de l'affection avec parfois des signes d'encéphalose hépatique. Les analyses biochimiques témoignent d'une insuffisance hépatocellulaire et d'anomalies de l'excrétion biliaire. Le diagnostic de certitude est obtenu à l'histologie ; elle révèle des lésions de type hca dans les stades cliniques avec une accumulation de cuivre et un phénomène de cholestase. Le pronostic est très réservé et la survie des chiens varie en fonction du stade de présentation de l'animal. Le traitement consiste en l'administration de glucocorticoïdes et de chélateurs du cuivre associés à un régime alimentaire adapté. Les mécanismes étiopathogéniques sont mal connus ; une réaction à médiation immune serait impliquée. Le rôle du cuivre reste discuté.

Résumé : La vaccination annuelle des carnivores domestiques est sujette à controverse depuis quelques années. La définition de la durée de protection est discutée à la lumière des connaissances scientifiques et de la réglementation européenne. L'analyse des études scientifiques relatives aux vaccins canins permet de faire le point quant à leur durée de protection et de confirmer les protocoles raisonnés à rappels espacés recommandés par le WSAVA.

Résumé : La période critique chez le chiot correspond au moment où il n'a plus assez d'anticorps maternels pour le protéger contre une infection, mais trop pour répondre correctement à une vaccination. Pendant cette période, les chiots sont très sensibles aux maladies infectieuses. Les agents infectieux sont très divers : virus, bactéries, plus ou moins résistants dans le milieu extérieur, avec des modes de transmission variés. La prévention des maladies infectieuses passe d'abord par la vaccination. Actuellement, il est recommandé d'adapter le protocole vaccinal au mode de vie de chaque animal. La vaccination des chiens est en train d'évoluer vers un allongement des intervalles de rappels pour les vaccins essentiels, tout en gardant un rappel annuel pour les vaccins optionnels. Pour les agents infectieux contre lesquels on n'a pas de vaccins, on peut protéger les chiots grâce à des mesures d'hygiène strictes. La période de sensibilité accrue aux infections correspond également à la période de socialisation des chiots. Des mesures de prévention sont à mettre en place dans les élevages mais aussi à la maison pour éviter des comportements agressifs plus tard.

Résumé : La vaccination permet la prévention de maladies infectieuses graves chez les carnivores domestiques. En effet, basée sur l'induction d'une réponse immunitaire adaptative, elle est à l'origine de la création d'une mémoire immunitaire. Ce travail vise ainsi à recenser les différents types de vaccins à agents inertes ou vivants, adjuvés ou non, actuellement disponibles pour la prévention de la maladie de Carré, de l'hépatite de Rubarth, de la parvovirose, de la leptospirose, de la piroplasmose, de la maladie de Lyme, de la toux de chenil, de l'herpèsvirose, de la rage et du tétanos chez le chien- du coryza contagieux félin, de la panleucopénie infectieuse féline, de la leucose féline, de la rage et du tétanos chez le chat.