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Documenten Benet, Jean-Jacques - 3 résultats

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Sélectionner : An holl / Hini ebet
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Résumé : Les morsures canines chez les enfants représentent 0,45% des urgences pédiatriques et constituent un problème de santé publique. Le but de cette étude est de concevoir un guide à l'usage des vétérinaires. La première partie est consacrée au recueil et à l'analyse de données bibliographiques selon quatre thèmes : 1) importance quantitative et qualitative (estimation du nombre de morsures, chiffres hospitaliers) ; 2) chien mordeur (sexe, âge, interprétation du risque selon la race, le type, le groupe et la taille, propriétaires, circonstances de morsures, principaux types d'agression) ; 3) enfant mordu (sexe, âge, lésions, complications et séquelles) ; 4) prévention (les rôles des vétérinaires, enfants, parents, propriétaires de chien et pouvoirs publics). La deuxième partie est une étude rétrospective de 237 cas de morsures canines chez des enfants ayant consulté aux urgences de chirurgie de l'hôpital Armand Trousseau (Paris) entre janvier 1991 et décembre 1994. Des liaisons significatives sont mises en évidence entre le nombre de morsures et les jours, les mois, les vacances scolaires, les saisons. Ces liaisons diffèrent selon l'âge de l'enfant. Les deux groupes à risque sont tous les enfants de 1 à 3 ans et les garçons de 12 à 14 ans. Une différence significative selon le sexe n'est mise en évidence qu'après l'âge de 12 ans (79,5% des > 12 ans sont des garçons). Les lésions siègent au visage (38,8%), aux jambes (20,7%), aux mains (17,2%), aux bras (11,9%), au tronc (5,7%), au cuir chevelu (3,5%) et aux pieds (2,2%). L'âge et la localisation des lésions sont liés (75% des lésions siègent à la tête chez les enfants de < 3 ans, 18 % chez les > 12 ans) ainsi que l'admission et la localisation des lésions (19% des lésions à la tête entraînent l'admission, 5% pour le reste du corps, mais les enfants < 6 ans sont admis quelle que soit la localisation). Enfin, des conseils sont proposés pour la mise en pratique d'une prévention simple en clientèle vétérinaire. Pour conclure, les morsures canines chez les enfants sont complexes et méritent non seulement des études plus approfondies en fonction de l'âge des enfants et de la gravité de la morsure mais aussi la création d'un organisme d'étude spécialisé (observatoire).
Résumé : Les morsures canines chez les enfants représentent 0,45% des urgences pédiatriques et constituent un problème de santé publique. Le but de cette étude est de concevoir un guide à l'usage des vétérinaires. La première partie est consacrée au recueil et à l'analyse de données bibliographiques selon quatre thèmes : 1) importance quantitative et qualitative (estimation du nombre de morsures, chiffres hospitaliers) ; 2) chien mordeur (sexe, âge, i...

MORSURE ; RELATION ENFANT-CHIEN ; PROPRIETAIRE ; COMPORTEMENT ANIMAL ; MEDICAMENT ; STATISTIQUE ; BATARD

BERGER ALLEMAND ; ROTTWEILER ; CANICHE

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Résumé : Pour comprendre les relations affectives entre les propriétaires et leurs animaux de compagnie, nous avons choisi un angle psychologique. Si l'étude des capacités cognitives des animaux de compagnie ne permet pas de conclure que l'implication de l'animal dans cette relation est réciproque, nous montrons qu'il existe de réelles possibilités d'interactions et la formation d'un lien durable. La représentation des propriétaires de ce lien, loin d'une approche éthologique, met en avant la simplicité de la relation, l'absence de jugement, le jeu, la pérennité : des caractéristiques qui permettent de la rapprocher d'une aire transitionnelle, dans la définition qu'en a donnée Winnicott. Nous présentons les conséquences bénéfiques et psychopathologiques pour le propriétaire, comportementales pour l'animal et pour le vétérinaire. Il peut ainsi mieux appréhender l'implication du propriétaire et la nécessité de créer une relation empathique.
Résumé : Pour comprendre les relations affectives entre les propriétaires et leurs animaux de compagnie, nous avons choisi un angle psychologique. Si l'étude des capacités cognitives des animaux de compagnie ne permet pas de conclure que l'implication de l'animal dans cette relation est réciproque, nous montrons qu'il existe de réelles possibilités d'interactions et la formation d'un lien durable. La représentation des propriétaires de ce lien, loin ...

RELATION HUMAIN-ANIMAL ; ANTHROPOMORPHISME ; PSYCHOLOGIE : SCIENCE VETERINAIRE

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Résumé : "La notion d'attachement entre un propriétaire et son chien ou chat est, en plus d'être très complexe, aujourd'hui très forte. Plus qu'un simple acteur de la santé animale, le vétérinaire est aussi le garant de cette relation propriétaire-animal de compagnie et doit se positionner en professionnel de ce lien. Cependant, les composantes du lien qui unit un propriétaire à son animal restent assez peu connues et le vétérinaire a parfois du mal à cerner le couple client-patient qui passe la porte de sa consultation. Ainsi, nous avons mené une étude auprès de propriétaires français de chiens et de chats dans le but d'aider à décrypter ce lien et ses caractéristiques. Cette enquête a été conduite à travers un questionnaire auto-administré via internet. Ensuite, par une analyse en composantes principales, deux axes principaux ont été mis en évidence : la relation à l'animal, d'une part, et la satisfaction du client vis-à-vis de son vétérinaire, d'autre part. Dès lors, nous avons pu conclure notre enquête par des corrélations entre la relation établie entre le propriétaire et son animal, le temps passé avec lui et la fréquence de friandises données, indépendamment de l'opinion que peut se faire le client à propos de son vétérinaire. Cependant, une typologie plus précise prenant en compte notamment le caractère des propriétaires de chiens et de chats n'a pas pu être mise en évidence. Cette étude souligne l'importance et l'intérêt d'associer des sciences humaines à la pratique vétérinaire."
Résumé : "La notion d'attachement entre un propriétaire et son chien ou chat est, en plus d'être très complexe, aujourd'hui très forte. Plus qu'un simple acteur de la santé animale, le vétérinaire est aussi le garant de cette relation propriétaire-animal de compagnie et doit se positionner en professionnel de ce lien. Cependant, les composantes du lien qui unit un propriétaire à son animal restent assez peu connues et le vétérinaire a parfois du mal à ...

RELATION HUMAIN-ANIMAL ; ANIMAL DOMESTIQUE ; SOCIOLOGIE ; CHIEN DE COMPAGNIE : FONCTION ; ENQUETE ; QUESTIONNAIRE

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